SENTAÏ SCHOOL
Sentaï School

C’est la journée porte ouverte à l’école des super héros pour fêter la ré-ouverture. Le principal ultra sama autorise ses élèves à jouer une pièce de théâtre. Il a juste une demande, les élèves joueront Roméo et Juliette au lieu de "Godzillor contre Gigantor". Il craint que l’école ne subissent encore des dommages.
Le jour dit, les parents arrivent pour découvrir l’école, ses cours et ses clubs. Evidemment la journée et la pièce de théâtre ne vont pas se passer aussi calmement que l’aurait désiré le principal. Surtout que Matt Ban, le super héros étranger en étude à l’école est arrêté par les Géjéjoe "héros américains sans frontière" pour haute trahison. Les élèves et les professeurs décident de partir aux Etats Unis pour son procès et encore une fois rien ne va se passer comme prévu.

Par fef, le 1 janvier 2001

Notre avis sur SENTAÏ SCHOOL #3 – Sentaï School

Comme dans les deux tomes précédents chaque dessin animé, bande dessinée, film utilisés en référence ne sont parodiés et détournés que dans un seul but, faire rire et sourire. Et comme dans les tomes précédents, cet album y arrive pratiquement à chaque page, que ce soit par rapport à l’histoire, une remarque des personnages toujours aussi extrêmes ou les petits détails en arrière plan, …

C’est surtout l’Amérique et ses références qui sont passés au crible cette fois et cela tombe bien car comme je le disais pour le tome 2, j’ai épuisé toutes mes références en manga et dessins animés japonais. Dans celui-ci, on retrouve les super héros des comics, sin city, des séries télés comme X-files, l’agence tout risque, ally mac beal, G.I.joe pour les dessins animés, le silence des agneaux, …

Encore une fois les auteurs utilisent des références connues et cela marche avec moi, dès le début de chaque histoire j’ai le sourire aux lèvres et il n’est pas rare que je reste bloqué sur une "connerie" des personnages ou un petit dessin en arrière plan. C’est le genre de bande dessinée qu’il faut lire plusieurs fois. Une fois pour l’histoire principale, une fois pour les petits détails et une troisième pour être sûr de n’avoir rien loupé. A chaque lecture, on trouve toujours de nouvelles choses.

On voit que, comme pour l’épisode sur l’île, il n’y a pas forcement besoin de références pour réussir à faire rire avec les personnages. Mais si les auteurs arrivent à trouver d’autres références, il n’y a pas de problème. J’attends avec impatience de voir ce qu’il va se passer dans les prochains tomes.

Par Fef, le 13 mars 2006

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