Seigneur Venin

L’Hadès. Le royaume des morts. Un désert gris.
Une partie de ce territoire n’est pas irradiée. Des hommes y affrontent des créatures mutantes nommées les singes. Les hommes sont protégés dans leur cité d’Umanurga, dirigée par Erebus.
Ce dernier lors d’un affrontement avec les singes tue le seigneur Harru. Ce haut fait d’arme ne plait pas au roi Wugga qui convoque ses armées. Il faut à tout prix se débarrasser des hommes…
Dans la Cité, dans les quartiers pauvres, on dit qu’un fantôme est apparu et qu’il prédit l’avenir…

 

Par berthold, le 18 décembre 2011

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Notre avis sur Seigneur Venin

Que voilà un étrange livre, une étrange lecture.
A la fin de ce bouquin, vous aurez même une étrange sensation : avez vous aimé ce Seigneur Venin ou non?
Il est vrai que mes sentiments sont très divers.

Seigneur Venin
m’a quand même fasciné, troublé, intrigué mais m’a quand même par moment ennuyé du fait de dialogues fort longs qui ralentissent l’action ou le dynamisme des scènes. Il y a aussi des passages longs et, pour ma part, inutiles ou un peu compliqués. Par moment, le dessin est même un peu "brouillon".

Mais le lecteur doit quand même rendre hommage au travail de Gabbarel Dalmatius (alias Gabriel Delmas). Il a été courageux de se lancer dans ce travail de plus de 200 pages qui n’est pas si facile que ça et de nous entraîner dans ce long combat, dans cette descente aux enfers.

Seigneur Venin n’est pas une oeuvre facile, qui se lit comme ça. Il faut être prêt. Il ne faut pas avoir un coup de déprime non plus.
Ce livre n’est pas à mettre entre toutes les mains mais devrait fasciner certains lecteurs avides de fantastique ou de nouveaux univers.

 

Par BERTHOLD, le 18 décembre 2011

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