SCHOOL RUMBLE
Tome 5

Les services de classe auxquels les élèves sont inscrits deux par deux pourraient être un bon moyen pour certains de se rapprocher. Ce jour-là, pour ichijo, ce sera surtout l’occasion de se rendre compte que Yosuke avait complètement oublié ce qu’il lui avait fait miroiter !!!

Harima Kenji porte sa barbe fièrement. Enfin.. l’aura portée fièrement jusqu’à ce qu’une expédition anti-barbe soit menée par quelques filles moqueuses. Il faut dire que le pauvre ne s’en sort pas. Ni en amour, ni en ce qui concerne le manga qu’il écrit et dont il a peur qu’il tombe dans certaines mains…

Le festival du sport approche. Certains concurrents, appartenant à d’autres classes, sont d’origine étrangère. Parmi eux, Harry McKenzie et la Mexicaine Lala Gonzales…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur SCHOOL RUMBLE #5 – Tome 5

Les aventures de Tenma et des autres élèves de son lycée continuent mais ont toutefois peut-être perdu un peu de leur charme depuis les très bons tomes 1 et 2, à mon avis. De plus en plus, je trouve, on assiste à des transitions un peu « cheveu sur la soupe » comme lorsqu’on passe à l’épisode du faux mariage où Kenji intervient pendant la séance photo avec fracas ou comme lorsqu’on passe à l’épisode où l’on rencontre Harry McKenzie.

De plus, de nombreux personnages viennent s’ajouter aux multiples déjà en lice : on peut commencer à s’y perdre un peu… Même Tenma n’a plus vraiment le rôle de vedette…

Il n’empêche qu’on a toujours droit à des scènes qui rappellent l’originalité du craquant début de série, comme cette séquence où Ichijo utilise les « sacs à idées » de Tenma pendant son rendez-vous amoureux : des sacs à ouvrir pour trouver l’inspiration (grâce à leur contenu) quand relancer la conversation devient difficile pour les tourtereaux timides !

M’enfin, on est malgré tout un peu avertis à la lecture du préambule qui pose lui-même la question : « School Rumble reste-t-elle toujours une série romantique ?!? »

Enfin, on apprécie ce choix de commentaires visibles en marges verticales. C’est comme des titres intercalaires, comme des repères appréciables ou humoristiques.
 

Par Sylvestre, le 1 juin 2008

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