SATAN 666
Tome 18

C’est à la fin pathétique de Franken Schretzz que Ball et son pote vont assister lors du combat qu’ils ont mené contre lui. Et à celle tout aussi triste de son père, Brownie Chretzz, un espion à la solde de Zénom qui fut le premier à développer des O.P.T. artificiels.

De leur côté, Cross et Ruby vont devoir se défaire de la jeune Spika et de son anneau matérialisant la matière sonique, avant de retrouver Punzo malheureusement possédée par Lilith.

Quant à Jio, Jin et Zero, c’est au plus profond de leurs ressources qu’ils devront puiser pour affronter « les douze gardiens »…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur SATAN 666 #18 – Tome 18

Les transitions entre les albums sont parfois surprenantes avec cette série et c’est le cas dans ce volume 18. Mais ces changements incessants de tableaux font aussi le dynamisme du titre et empêchent le lecteur de rester trop longtemps sur une même « affaire » : les aventures vécues par les différents (nombreux) héros s’intercalent et amènent son lot d’originalité à l’histoire.

Encore une fois, il y a pas mal de gadgétisation dans ces épisodes. Les meilleurs exemples sont le « char » qu’est devenu Franken dont on va découvrir l’aspect, le « jeu de cubes » du combat final, ou encore (mon préféré) l’anneau de Spika qui matérialise les mots qu’elle dit dedans !!! Eh oui : c’est ainsi que Cross et Ruby vont être menacés par des lettres en volume leur arrivant dessus ! C’est marrant, et ça souligne aussi le travail d’adaptation qui a dû être fourni ; on ressent d’ailleurs bien que ces lettres « latines » remplacent des kanji japonais : leur aspect trahit leur superposition au dessin.

De la bagarre et de la magie… Du rythme et de l’action pour nous mener jusqu’à la dernière case rappelant qu’on était là dans la « dernière ligne droite » puisque le tome suivant, le numéro 19, sera le dernier de la série !
 

Par Sylvestre, le 22 octobre 2008

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