SANDMAN
Volume 6

Depuis que son fils Daniel a disparu, Lyta Hall est marquée par la colère et par la tristesse. Du coup, elle invoque celles que l’on nomme les trois Furies. Elle leur demande la tête de celui qui est responsable de cette situation : Morphée ! Les Furies acceptent et se rendent au Royaume du Maître des Songes. Là, elles réalisent quelque chose qui change l’univers des Infinis…

 

Par berthold, le 26 mai 2015

Notre avis sur SANDMAN #6 – Volume 6

Ce sixième volume de la série Sandman reprend les épisodes suivants : Vertigo Jam 1 et The Sandman 57 à 69.

Neil Gaiman savait quasiment depuis le départ que sa série The Sandman ne durerait pas éternellement, qu’à un moment donné il y mettrait un terme. Et pour cela, il lui fallait se "débarasser" du héros principal de cette saga : Morphée, alias Dream, alias The Sandman.
C’est avec ce sixième volume et ce long récit que le lecteur découvre ce qui attend Morphée et le Royaume des Songes. En effet, la vengeance de Lyta Hall va modifier à jamais l’univers des Infinis.
Neil Gaiman a changé la perception du monde du comics avec sa saga The Sandman et quand le lecteur se plonge dans la lecture de ce sixième volume, il découvre la grande richesse de ce titre, mais il se rend compte aussi de l’intelligence de l’écriture du scénariste et de la façon dont il a mené l’histoire de Morphée.
Nous y croisons de nombreux personnages principaux de la saga dont sa fameuse soeur : Death ! Le passage entre Morphée et sa soeur est l’un des plus surprenants et l’un des plus beaux de ce sixième volume, voir de la saga en général.

Graphiquement, c’est magnifique. Marc Hempel réalise de très belles pages qui raviront les amateurs. Et cela permet aussi à d’autres artistes de montrer leur talent, comme Charles Vess ou Teddy Kristiansen, avec des interventions magnifiques.

Ce sixième volume est l’un des meilleurs de la saga du Sandman si ce n’est le meilleur et le plus touchant ! Neil Gaiman y met beaucoup de sensibilité et d’émotion et le lecteur est emporté par le destin de Morphée.
Une oeuvre culte et indispensable ! A ne pas rater !

 

Par BERTHOLD, le 26 mai 2015

Publicité