SANDMAN MYSTERY THEATRE
Sleep of reason

1997; Afghanistan.
Wesley Dodd et Dian se promène dans une rue d’une vile lorsqu’ils sont agressés et Dian kidnappée.
De nos jours en Afghanistan. Les soldats américains sont en pleine intervention et le journaliste Kieran Marshall couvre ces évènements. Il essaye d’avoir une interview d’un chef ennemi, Masad.  Ce qu’il réussit à avoir mais il est pris au piège par les afghans.  Une attaque américaine va changer son destin…

Par berthold, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur SANDMAN MYSTERY THEATRE # – Sleep of reason

Je crois que je vous ai déjà parlé ici de cette excellente série Vertigo qu’est Sandman Mystery Theatre écrite par Matt Wagner, Steven S.Seagle et illustré souvent par Guy Davis, celui du B.P.R.D. C’était de l’excellent polar qui nous ramenait dans la période d’entre les deux guerres aux USA et où le justicier, le Sandman, faisait régner l’ordre. Ce Sandman là était un des héros de l’age d’or, un des membres de la Société de Justice. C’était le millionnaire Wesley Dodds qui se cachait sous le masque à gaz. Aujourd’hui, dans la nouvelle Société de Justice, c’est un autre qui a pris le flambeau (l’ancien Sand). Mais chez Vertigo, il n’y avait plus d’incarnation de ce personnage.
Pourtant, le scénariste John Ney Rieber a tenté de donner une nouvelle incarnation au justicier avec le journaliste Kieran Marshall comme vous pourrez le constater ici.
Nous allons même suivre deux intrigues : celle de Kieran Marshall, qui va trouver le fameux pistolet du Sandman et va l’utiliser ainsi que l’intrigue où Wesley Dodds, âgé, essaye de sauver Dian. Tout cela se passant en Afghanistan.
Le récit est pas mal, en fait. C’est bien prenant et cela amène son lot de sensation fortes.
Coté dessin, Eric Nguyen donne un ton, une atmosphère qui reste dans la cohérence de la série. Son style, quoique par moment un peu confus, reste assez intéressant dans l’ensemble.
J’ai pris plaisir à lire cette aventure et ‘espère que l’éditeur et les auteurs n’en resteront pas là.

Par BERTHOLD, le 7 décembre 2008

Publicité