SAINT SEIYA G
Les origines des chevaliers du zodiaque, vol 1

Une ère nouvelle commence pour l’humanité. La déesse Athéna vient de revenir sur Terre, en se réincarnant dans le corps d’un bébé.

Rapidement, sa vie est menacée par des forces obscures. Aiolos veille sur elle et fait bouclier de son corps pour la protéger. Il fait parti de la caste des chevaliers d’or d’Athéna, et son geste est assimilé à une trahison.

Son infamie poursuivra son jeune frère Aiolia, chevalier d’or lui aussi, qui se positionnera en marge du plus haut des ordres de la chevalerie.

Par eric, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur SAINT SEIYA G #1 – Les origines des chevaliers du zodiaque, vol 1

Cette nouvelle série dans l’univers de Saint Seiya est une préquelle à la série dessinée par Masami Kurumada. Cette série à pour but avoué de définir les origines des chevaliers du zodiaque. Cette tâche est dévolue aux interludes. Il y en a un par volumes. Ici c’est celui, bien connu de la trahison du chevalier du Sagittaire. Petit détail amusant, ces interludes sont en couleur.

Ensuite le reste de l’album se fait avec le découverte du chevalier d’or du Lion qui fait son apparition au travers d’un fait réel : l’accident nucléaire de Three Miles Island en 1979. On voit déjà qu’il est en proie au doute, car la trahison de son frère pèse sur son devoir au service d’Athéna. Il faudra le sacrifice d’un innocent pour le faire changer d’avis.

Ainsi, avec cette préquelle on peut enfin savoir qui sont les fameux chevalier d’or. Cependant, ce n’est plus Masami Kurumada qui dessine, et cela fait toute la différence. En effet, le style de Megumu Okada est radicalement différent de celui de Kurumada. Son maître lui aurait donné carte blanche pour cette série et cela se voit. Le design des armures est entièrement changé par rapport à la série Saint Seiya mais ce qui étonne le plus c’est le design des personnages. Chez Okada, les personnages sont longilignes, un peu comme chez Matsumuto, et semblent un peu efféminés. Mais on finit par s’y faire car c’est un dessin uniforme du début à la fin. Seul reproche, le dessin est parfois trop sombre et du coup on perd en plaisir de lecture.

En fin de comptes, certains diront que ce sont des japoniaiseries mais cela permet de retrouver un peu de cette magie de notre enfance, pour ceux de la génération Club Dorothée comme moi. Rien que pour cela, cette série mérite le détour.

Par Eric, le 27 mars 2005

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