RONIN
Sacrifice

Japon au XIIIème siècle.
Un samouraï est devenu un ronin car il n’a su protéger son maître. celui-ci vient d’être tuer par le démon Agat.
Ce démon ne peut être tuer que par une épée nourri par du sang innocent.  
Alors que le ronin arrive à se sacrifier en se passant la lame de son épée au travers de son corps pour tuer le démon, Agat a le temsp de lancer une dernière malediction.

New york au XXIème siècle.
La ville a bien changé. Le srues sont devenus malsaines, dangereuses touché par la corruption et la vermine. seuls certains vivent dans de bonnes conditions.
Une épée datant du Japon du XIIIème siècle a été découverte et son étude au laser a libéré deux entités.

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur RONIN #1 – Sacrifice

Ronin est une oeuvre culte de Frank Miller, l’auteur de Batman- Dark Knight, 300 ou Sin City
A sa sortie, fin des années 1980, l’oeuvre n’a pas eu le succès escompté. Mais le temps a permis aux lecteurs de redécouvrir ces comics devenus donc culte.

Dans cette oeuvre, on y retrouve la passion de Miller pour le Japon et certaines oeuvres venus de ce pays. On y retrouve d’ailleurs l’influence de Lone Wolf and Cub dont,  comme on le verra par la suite dans les prochains tomes, deux protagonistes se nomment Mr Koike et Mr Kojima. C’est aussi une vision apocalyptique du monde, une vision violente et désespéré de notre futur. Et on y retrouve aussi les tics du dessinateur comme les croix gammées sur certains personnages, le racisme ou sa vision de la justice.
Ronin est aussi une œuvre complexe, violente mais assez prenante. Nous allons suivre la quête de ce ronin d’abord au XIIIème siècle puis dans c e XXIème siècle pour abattre le démon Agat.
Nous allons voir comment le ronin va prendre possession du corps de Billy un jeune surdoué né sans bras ni jambes travaillant pour Aquarius et nous allons faire connaissance avec Casey McKenna, cette superbe femme, chef de la police d’Aquarius, ce grand complexe.
Nous allons découvrir la misère aussi qui règne sur ce New York.
Miller réussi à nous donner une vision pessimiste de notre futur. Il réussit avec ce premier tome à nous donner envie de découvrir la suite de ce récit.
Grâce à un découpage nerveux, à un cadrage audacieux et avec son style graphique propre, il va lancer une nouvelle saga pleine de bruit et de fureur qui ne va pas laisser le lecteur indifférent.

Par BERTHOLD, le 5 août 2008

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