ROBIN DUBOIS
La promenade des anglais

Ce jour-là, le shériff Fritz Alwill est encore en pleine crise conjugale. Cunégonde, sa femme, sa tendre moitié en a après lui car Fritz ne pense qu’à aller boire. Elle le poursuit armée d’un rouleau à pâtisserie dans la forêt. Robin Dubois s’interposant pour ramener la paix dans le couple Alwill se voit accusé par Madame d’être celui qui pousse son mari sur « la pente savonneuse et inclinée de la beuverie ». De plus, intervient le percepteur des impôts qui vient pour un contrôle sauvage des comptes Alwill. Mais par une méprise, les trois hommes sont pris en charge par une Cunégonde plus que déchaînée.
Le trio ne devra son salut qu’à la protection du Prince Jean.
Mais voilà. Ils sont malencontreusement engagés dans l’armée pour un an. Le Prince Jean leur confie une mission : retrouver le Roi Richard Cœur De Lion qui a disparu aux croisades.
Voilà notre trio qui part dans leur nouvelle quête et un long voyage qui les fera passer par le Portugal, Marseille, la Terre Sainte, Constantinople, la Bulgarie et l’Autriche.
Mais le Prince Jean veut aussi tout faire pour que le Roi ne revienne pas en Angleterre. Il a donc envoyé un espion pour faire capoter, si besoin est, la mission.

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur ROBIN DUBOIS #7 – La promenade des anglais

C’est en 1969 que voit le jour le personnage de Robin Dubois. Il a été crée par les auteurs de Léonard.
C’est une parodie des aventures de Robin des Bois.
Ce sont souvent des gags en une planche (voire deux ou trois planches) que l’on peut lire. Des gags toujours très drôles et amusants. 
C’est comme pour Léonard, on s’amuse sans cesse à lire et relire ces gags.
Pour le septième tome, les auteurs vont proposer une histoire longue sur 46 pages.
C’est ainsi que voit le jour  La promenade des anglais .
Souvent, lorsque l’on passe du gag en 1 page au récit long, c’est une entreprise assez difficile, voire « casse-gueule ». Pourtant, Turk et De Groot ont réussi ce passage avec ce récit…
Ils envoient donc leurs héros dans une longue aventure à travers plusieurs pays.
Ce qui nous vaut de très bons gags à chaque page que ce soit par des jeux de mots, que ce soit des gags visuels, des anachronismes, des clins d’oeils.
Et puis, le récit est dynamique, prenant. C’est vrai que je ne me lasse pas de le relire ce tome. Et malgré que je connaisse déjà les gags, je m’amuse toujours, y découvrant quelques fois de nouvelles choses.

Si vous en avez l’occasion, (re)découvrez ce personnage qu’est Robin Dubois. Je pense que vous ne regretterez pas la rencontre.

Par BERTHOLD, le 20 décembre 2006

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