RIC HOCHET
Traquenard au Havre

Deux enquêtes sont proposées :

Raccompagné à son domicile par Ric Hochet, le Commissaire Bourdon est renversé par un véhicule dont le conducteur fuit après son forfait. Toutefois, le fonctionnaire de police n’est pas au bout de ses surprises puisqu’il est l’objet d’un cambriolage qui le prive d’un dossier top secret remis par son chef. Toutefois, une empreinte digitale lui permet de retrouver le voleur présumé. Ce dernier lui oppose un alibi en béton. Stupéfaits, Ric et le Commissaire admettent qu’ils font l’objet d’un coup monté. Par qui et pourquoi ?

Au Havre, lors d’une course effrénée en auto, Ric Hochet est accroché par un automobiliste qui lui avoue être à la poursuite des kidnappeurs de son unique enfant. Le journaliste propose illico son aide pour remettre la rançon exigée pour la libération du petit séquestré. Mais la rencontre ne se passe pas comme prévu et les bandits repartent avec l’argent. Ric Hochet se lance à leur poursuite sur les quais du port.

Par phibes, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur RIC HOCHET #1 – Traquenard au Havre

Parues dans le journal de Tintin en 1955, les deux enquêtes intitulées « Signé Caméléon » et « Traquenard au Havre » ont été regroupées pour constituer le présent recueil qui ouvre cette longue série.
Le premier dossier évoque le thème de la vengeance tandis que le deuxième celui de la jalousie.

Ric Hochet, l’ancien petit crieur du journal de la Tribune s’adonne, lorsque les évènements le requièrent, à sa deuxième passion après le journalisme qui est le métier de détective. Il accompagne avec ferveur le Commissaire Bourdon dans ses investigations et pousse même le vice jusqu’à le supplanter dans le dénouement des énigmes.

Bien que cette bd ait un peu vieilli, il est toujours agréable de replonger à la source de cette série mythique qu’André-Paul Duchâteau et Tibet, anciens complices depuis les studios bruxellois de Walt Disney, ont réalisée. On conviendra que les traits des personnages sont incertains. L’apparence physique et surtout la figure de Ric, me rappelant celle de Jean Marais, l’acteur français de cinéma, ne sont pas celles que nous connaissons aujourd’hui.
Une différence notable subsiste toutefois entre les deux histoires, les traits dans la seconde s’étant franchement améliorés.

Par Phibes, le 21 mai 2007

Publicité