RESILIENCE
La Vallée trahie

Juin 2069, Bruxelles, le siège de Dyosinta Dtrategic Intelligence Tower.
Après avoir été interrogé dans le train, Adam, Agnès et Ellen arrivent finalement dans la mythique vallée de la Résilience. Ils doivent s’adapter à cette nouvelle vie, très proche de la nature. Malheureusement, l’ambiance se dégrade vite, les Résilients ont appris qu’un traitre était parmi eux.
Adam est ainsi rejeté par les Résilients qui ne lui font pas confiance. Même Agnès ne veut plus de lui à cause de sa liaison avec Ellen. Malgré tout, Adam essaye de découvrir qui est le traitre…

Par berthold, le 12 avril 2018

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Notre avis sur RESILIENCE #2 – La Vallée trahie

Résilience est une série très intéressante, un récit d’anticipation sur un futur qui pourrait être le notre. Une ambiance à la Soleil Vert, à la Mad Max ambiance écolos. Un monde où des hommes luttent contre les O.G.M., essaient de distribuer des semences à des hommes libres.

Ce second tome est bien meilleur que le premier opus.
Maintenant que nous avons fait connaissance avec les personnages et vu le contexte, nous pouvons vraiment entrer dans le vif du sujet et découvrir ce lieu secret tenu par la Résilience. Sauf qu’il y a un traitre arrivé par le train, et comme les derniers à rejoindre le lieu sont Adam, Agnès et Ellen… Sans oublier ce photographe. Adam, rejeté par les autres, mène sa propre enquête pour trouver l’identité du traitre, avant qu’il ne soit trop tard.
Le scénario de Lebon est très bon. Nous avons droit à un bon suspense et une intrigue intéressante, qui nous divertit et qui nous fait réfléchir sur ce qui nous attend. Les personnages ont du caractère et de la présence, ils ne tombent pas dans la caricature.

Le dessin de Lebon convient à la perfection pour ce genre de récit. Il a d’excellentes idées sur la façon de nous montrer cet avenir ou le lieu secret de la Résilience. Tout ceci étant mis en couleurs par Hugo Poupelin inspiré par le sujet.

Bienvenue dans la Vallée trahie. Un très bon divertissement, mais qui fait aussi réflechir sur le monde de demain qui pourrait être le notre.

 

Par BERTHOLD, le 12 avril 2018

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