REQUIEM CHEVALIER VAMPIRE
Resurrection

Heinrich Ausburg, soldat nazi de la seconde guerre mondiale, trouve la mort sur le front de l’Est. Au lieu d’accéder au paradis ou en enfer, il se retrouve projeté sur Resurrection, planète ressemblant à la Terre, mais où les terres sont les mers, et vice-versa. Il se retrouve Chevalier Vampire, caste dirigeante et puissante, adoubé sous le nom de Requiem, et découvre les « joies » de sa nouvelle Vie sur cette planète où l’on rajeunit, au lieu de vieillir.

Par La Chose, le 1 janvier 2001

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2 avis sur REQUIEM CHEVALIER VAMPIRE #1 – Resurrection

Je vous le dis tout de suite, si vous n’aimez pas le sanguinolent, voire gore, ni le gothique, passez votre chemin. Les teintes principales, données dès la couverture, sont le rouge et le noir.
Vos habitudes de lecture vont être chamboulées par le style de mise en page. Le principe part d’une bonne idée, mais on finit par s’y perdre de temps en temps. Il n’est pas rare de relire plusieurs fois la même page, voir double page, pour trouver le sens des cases et de l’histoire.
Le scénario est facile à comprendre, et les personnages sont dessinés avec beaucoup de précision et de soin. Requiem pourrait presque faire rire, tant il n’a pas l’air d’être à sa place, avec son innocence et son dégoût de la torture (la première fois qu’il doit mordre, quelle « rigolade » : )) ), face à ses camarades vampires, tous plus horribles les uns que les autres, et n’hésitant pas à faire souffrir. On apprend d’ailleurs au fil de l’histoire les conditions à remplir sur Terre, lors de sa première Vie, pour faire partie de telle ou telle catégorie d’habitants.

Par La Chose, le 25 février 2004

En lisant dix pages on comprend tout de suite si on va aimer ou non. Pour ma part, j’adore.
Le plus difficile c’est de se faire aux couleurs inhabituelles et à l’ordre dans lequel on avance.
C’est gore, malsain, noir, etc… mais le "monde" où se déroule l’histoire est pour le moins original et le scénario est vraiment sympa. C’est le genre de BD qui commence à vous faire frustrer quand vous arrivez à deux tomes de la dernière parue. A lire donc, enfin si vous êtes prêt à vous plonger dans un univers très inhabituel dirons-nous…

Par Cobalt, le 7 janvier 2007

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