RENAISSANCE
Permafrost

Texas. Swänn et Liz essaient d’échapper à leurs poursuivants, des braconniers skualls, qui d’ailleurs, sont responsables de la famille Hamilton. Swänn découvre les réalités de la guerre et les chocs émotionnels qui accompagnent une triste annonce sur des victimes, aux familles. Pendant ce temps, le mur entre le Texas et le Mexique, sur le Rio Grande est détruit. Cela permet le passage des réfugiés américains.
La planète Näkän. Dans les assemblées du Complexe, se poursuivent les débats sur le financement de Renaissance…

Par berthold, le 5 novembre 2020

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Notre avis sur RENAISSANCE #3 – Permafrost

Ce troisième volume est le dernier de la série.

Fred Duval a imaginé une magnifique série de science-fiction qui nous change de ce que le scénariste fait généralement dans le genre, comme avec Travis ou Carmen McCallum.
Ce troisième tome, tout comme l’ensemble de la série, est riche en rebondissements, une belle étude sur l’avenir de l’humanité. Il est ici question de survie, de politique, mais aussi d’amitié et d’amour.
Il est vrai que ce récit nous renvoie de nombreux sentiments, tout en nous entraînant dans une intrigue passionnante.
Duval fait très fort avec cet épisode qui conclut ces trois tomes. Nous suivrons avec intêret l’enquête qui explique l’origine de cette épidémie qui a touché et tué pas mal d’humains, et tout se tient. A aucun moment, je n’ai été déçu par cette aventure.

Emem fait de l’excellent ouvrage. Sur des designs de Fred Blanchard, il ajoute de la force, de la vie à ces races extra-terrestres, mais surtout à leurs représentations, véhicules, costumes ou encore à la vision de leur planète. Nous avons droit à de superbes constructions de pages avec quelques idées audacieuses. Le tout enveloppé par des couleurs qui nous plongent dans les ambiances apocalyptiques de la Terre et l’atmosphère particulière de la panète Nänkän par exemple.

Une très belle série en trois tomes, à lire et relire, avec même quelques parallèles avec notre actualité.
Pour conclure, un incontournable.

 

Par BERTHOLD, le 5 novembre 2020

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