PRINCE LAO
l'île aux loups

Lao est un petit garçon qui adore courir après les animaux, essayant de les capturer en vain, mais se promettant lorsqu’il sera grand d’être un chasseur hors pair. C’est à la suite d’une avalanche qui anéantit son village et sa famille qu’il devient l’ami de nombreux animaux.
Lao, à présent orphelin, est recueilli par Chabala, un yéti très maternel. Doté d’un pouvoir magique magnifique, celui de parler aux animaux, Lao entre dans une nouvelle vie, dans le froid des montagnes himalayennes.

Par aub, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur PRINCE LAO #1 – l’île aux loups

Voila un album jeunesse bien sympathique.
Même si au départ l’histoire est dure, puisque Lao perd sa famille et tout son village, il est très vite en de bonnes mains avec le yéti Chabala.
J’ai observé, mais probablement que ceci est très fréquent dans les albums pour enfants, que les cases et l’histoire en général sont décrites dans de nombreuses bulles par la voie du narrateur. Une technique pour que l’enfant lecteur comprenne d’autant plus l’histoire et suive la narration des cases à la perfection. Une technique pour attirer l’attention des plus jeunes lecteurs, et à mon avis une technique pour apprendre à lire et à comprendre la Bande Dessinée. En tout cas, pour ma part, ceci m’a légèrement gêné au début, probablement car je ne fais pas forcément partie du public visé, et que ma connaissance de la Bande Dessinée et de son système de lecture n’a pas besoin de ce support suplémentaire. Mais bon, très rapidement on oublie, et on se plonge dans la lecture.
Mes deux enfants (7 et 5 ans) se sont, eux, plongés dans la lecture de cette bande dessinée, que volontairement je leur ai laissé à portée de mains puisqu’elle leur est destinée. Et en toute franchise, ils l’ont tous les deux feuilletée, lue et relue  tout au long du week end.
L’auteur Philippe Gauckler, qui nous avait plus habitué à des histoires de SF (il a débuté dans les pages de "Métal Hurlant"), signe là le début d’une série jeunesse qui trouvera certainement son public dans les plus jeunes d’entres nous.

Par AUB, le 21 mai 2006

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