PRINCE DU TENNIS
Prince du tennis

Les joueurs de Seigaku poursuivent leur entraînement : les duels s’enchaînent. L’objectif est d’améliorer leur résistance. Le match entre Tezuka et Momo est serré mais le capitaine de Seigaku finit par s’imposer.
Alors qu’Echizen et Fuji s’affrontent, la pluie se met à tomber, poussant l’entraîneur à interrompre la partie.

Par KOMORI, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur PRINCE DU TENNIS #11 – Prince du tennis

Pour les amateurs de séries sportives façon « nekketsu », voici la suite des aventures du Prince du tennis !
Côté scénario, le volume s’ouvre sur les derniers matchs d’entraînement des joueurs de Seigaku. Ils sont en pleine préparation pour le tournoi de Tokyo et n’hésitent pas à aller au-delà de leurs limites (comme tout bon sportif enthousiaste qui se respecte) ! Pluie, fatigue, pression … rien ne les arrête ! C’est un mécanisme assez classique de ce genre d’ouvrage. L’auteur met en avant le dépassement de soi, l’effort, l’esprit d’équipe ! Même si cela tombe parfois dans le « too much » : en plein tournoi, accident de taxi ou pas, même pas peur, même pas mal, il faut jouer !
L’auteur enchaîne ensuite sur le début du tournoi et la présentation des équipes adverses ! Bien entendu, il y a des gentils (fervents représentants de l’effort) et des méchants (prêts à tout, sans scrupules) ! L’auteur utilise des figures emblématiques pour fixer les antagonismes.
L’examen des matchs est un peu plus court mais les noms des coups restent farfelus. Les dialogues sont toujours un peu poussifs, pédagogiques.

Côté graphisme, le trait reste propre. Les personnages sont bien différenciés les uns des autres et ressemblent à leur caractère (toujours ce souci du pédagogique) ! Au moins, cela permet d’éviter les confusions. Il demeure des incohérences : qui irait jouer au tennis en veste de jogging grande ouverte ? sans parler des sauts acrobatiques ! Le traitement des mouvements reste néanmoins intéressant, tout comme le rendu des postures de jeu. La sensation de vitesse est bonne, sans surcharge. Mais, il y a quand même une impression de répétition sur certaines cases. On se retrouve alors avec le même effet dans tous les sens possibles.

Un nekketsu gentillet pour jeune public.

Par KOMORI, le 7 février 2007

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