PRAY FOR LOVE
Pray for Love Tome 1

Amane Ninomiya est une jeune lycéenne de 16 ans, mais à l’apparence d’une petite fille de sept ans ! A la mort de son grand-père, Amane se rend au temple pour prier, et implorer les dieux de la faire enfin grandir. Mais pas de chance, c’est un dieu bien pot-de-colle qui lui répond. La divinité en question lui apprend alors qu’Amane avait autrefois promis de devenir son épouse, en échange d’une faveur. Voila Amane bien empêtrée avec ces révélations divines, elle embarque de force dans une aventure très échevelée avec un dieu sexy mais égoïste, qui ne se lasse pas de la faire tourner en bourrique.

Par Clémence, le 30 septembre 2015

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Notre avis sur PRAY FOR LOVE #1 – Pray for Love Tome 1

Sakano a bourré ce tome 1 de rebondissements et de révélations. La relation entre Amane et le dieu mystérieux donne lieu à de nombreuses situations cocasses. Car c’est ce dieu qui a arrêté la croissance d’Amane, et il peut lui faire reprendre son apparence réelle à l’envi. Amane passe donc son temps à changer d’apparence, et elle doit supporter la fougue amoureuse d’un dieu bien entreprenant. On pourrait y voir un petit côté pervers, mais le tout est traité avec tant de gaieté et de bonne humeur qu’il est difficile d’y voir autre chose que la fantaisie innocente de l’auteur. Amane d’ailleurs est loin d’être une potiche, et ne se laisse pas faire. La relation entre les personnages évolue subtilement, jusqu’à une révélation d’envergure à la fin du tome.

Le style correspond parfaitement à la légèreté du récit, le trait est agréable, avec de nombreux plans rapprochés sur les deux personnages principaux. Ce manga est plutôt une bonne surprise, on pourrait s’attendre à un énième poncif du genre, mais l’humour et l’écriture légère rendent la lecture agréable. Certes, on se s’attardera sans doute pas sur un récit qui est encore superficiel, mais le premier volume de cette série laisse entrevoir le talent de l’auteur. On ne peut qu’espérer un développement plus riche pour ces personnages attachants.

Par Clémence, le 30 septembre 2015

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