POWER MAN & IRON FIST
Cest la Guerre

Luke Cage et Danny Rand ont décidé de reformer les "Heros à Louer". Dans leur QG, qui n’est pas encore terminé, ils regardent la télévision et assistent en direct à un combat du groupe de Captain Marvel face à Thanos. Ils apprennent la mort de James Rhodes, alias War Machine, et que Jennifer Walters, alias Miss Hulk, a été grievement blessée. Les deux amis sont marqués par ces évenements.
Pendant ce temps, dans les rues de New York, un groupe qui se fait nommer La Force Préventive, poursuit Charles Carbona, plus connu sous le nom de Carlos Cabrera, le Coq.

Quelques jous plus tard, une nouvelle guerre civile frappe les héros. Cage et Rand ne veulent pas y prendre part. Ils reçoivent la visite d’anciens criminels ou enfants de malfrats qui viennent leur demander leur aide, certaines de leurs connaissances ont disparu. Cage et Rand étudient la question, mais la Force Préventive interrompt la réunion. Cela tourne au pugilat et la police intervient. Rand frappe un des agents des forces de l’ordre. Il est arrêté, alors que les membres de la Force Préventive ont disparu…

Par berthold, le 5 novembre 2017

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Notre avis sur POWER MAN & IRON FIST #2 – Cest la Guerre

Ce second tome reprend les Power Man & Iron-Fist 6 à 9 et l’Annual.

David Walker place son intrigue en pleine guerre entre les héros, lors de la Civil War II. D’ailleurs, Cage doit affronter Captain Marvel et son équipe, à cause d’une des visions d’Ulysse. Mais l’intrigue de ce tome s’avère plutôt fun, même si quelques moments restent assez sombres. Nous voyons donc quels positions prennent nos ‘Héros à louer". Ils ont déjà été marqués par la première guerre entre les héros. Cette fois, ils ne veulent pas y prendre part. Sauf que…
Nous allons les suivre enquêtant, à leur façon, sur la disparition de ces personnes, anciens malfrats ou non, qui finalement se retrouvent en prison. C’est là que Rand veut aller pour pouvoir comprendre ce qu’il se passe et les aider. Et du fait qu’il n’a pas parlé de ses plans à Cage, cela va compliquer la situation.
Walker n’oublie pas de nous offrir pas mal d’action avec ce récit où l’humour reste quand même aussi bien présent.

Les dessinateurs ont leurs propres styles, apportant parfois une touche "cartoon" à l’ambiance, tout en gardant aussi un esprit très blackploitation, année 1970. Les choix graphiques fonctionnent, ce qui peut surprendre d’ailleurs.

Un bon comics fun et divertissant, sans aucune prétention qui ravira les amateurs !

 

Par BERTHOLD, le 5 novembre 2017

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