PORTE D'ISHTAR (LA)
Le masque de chair

810 avant J.C., Babylone.

Adad-Bela-Ukin, l’adjoint de Talya, a été griévement blessé. La jeune fille qui a été nommé au Service de la Justice royale àlors qu’elle est toute jeune et de plus, qu’elle soit une fille ne baisse pas les bras comme ça et elle va user de toute sa ténacité pour démêler les flis de cette intrigue.

Par berthold, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur PORTE D’ISHTAR (LA) #2 – Le masque de chair

J’avais bien aimé le premier tome qui présentait les personnages et l’intrigue. 
Avec ce tome 2, le mystère s’épaissit et se dévoile dès les toutes dernières pages après un récit mené tambour battant. Ce qui est très bien comme ça le suspense est tenu jusqu’au bout.
Le scénariste a su nous donner un bon policier avec cette "ancêtre" d’Hercule Poirot, Soeur Fidelma et autres enquêteurs.
La jeune fille se fait aider par un jeune homme, Sardur, chef d’un groupe de chaldéens, qui prend la place de Adad-Bela-Ukin pour le moment. Elle arrive à se créer une "petite famille" autour d’elle, ce qui permet d’avoir certains personnages coccasses.
 Là où c’est intéressant aussi, c’est la reconstitution de Babylone, de la ville et de ses moeurs. L’auteur nous montre comment l’on vivait à cette époque et certaines traditions de cette civilisation. 
Le dessinateur Simon Dupuis a un style particulier. Il y a de l’audace dans sa mise en page, dans certains cadrages ou pour certaines cases. Ca marche pas toujours, mais on est tout de même intrigué par ses images.

Ce tome 2 conclut ce dyptique. La porte d’Ishtar finalement s’avère être un récit plutôt agréable à lire où le suspense est présent.

Par BERTHOLD, le 19 juin 2008

Publicité