Placerville

1951. Misty et sa mère rentrent d’une soirée chez les Barrett. Elles circulent sur la route qui traverse la forêt. A un moment donné, Misty aperçoit une petite fille à la lisière de la forêt. Malgré le froid, elle semble habillée léger. Misty demande à sa mère de s’arrêter et va voir si elle n’a pas besoin d’aide. Elles n’aperçoivent pas encore son visage, mais lorsque L’enfant s’aproche, les deux femmes peuvent voir son visage, elles se mettent à hurler…
De nos jours à Sacramento. Kerrie quitte avec son fils Paul la maison de ses parents. Elle vient de trouver un poste de technicienne juridique à San Diego. Pour y aller, elle prend la route 50…

 

Par berthold, le 30 août 2018

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Notre avis sur Placerville

Placerville est une histoire de fantôme, un récit qui nous captive par son suspense et son ambiance envoutante.

Au scenario, on retrouve le prolifique Christophe Bec, déjà coupable de quelques méfaits dans la collection Flesh & Bones de chez Glénat : Bikini Atoll 1 & 2, Winter Station ou encore Blood Red Lake. Cette collection lui va à merveille.
Avec Placerville, il signe un bon drame fantastique. Une belle histoire de fantôme dont nous ne découvrons la vérité qu’à la toute fin.
Ce n’est pas facile d’écrire une histoire de fantôme en bande dessinée, qui nous tient en haleine et nous donne le frisson. Les scenarios de Bec pourraient même être adaptés au cinéma, il y a de la matière.
Nous suivons quelques personnages qui ont fait la rencontre de cette jeune fille au visage caché par de longs cheveux noirs et du policier qui mène sa petite enquête autour de tout ces mystères.
C’est bien écrit et le lecteur passe un bon moment.

On apprécie aussi les belles planches de Cyrille Ternon qui fait ressortir cette atmosphere spéciale que l’on retrouve dans les bonnes histoires de fantômes, que ce soit en roman ou au cinema. C’est très efficace dans l’ensemble.

Une bonne lecture, qui nous permet de ressentir un frisson quand il le faut.

 

Par BERTHOLD, le 30 août 2018

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