PILOTE A L'EDELWEISS (LE)
Valentine

1917. Le plateau du Chemin des Dames.
Henri de Castillac est un pilote d’avion français. Un bon. Il fait partie de l’escadrille des "Cigognes". Mais ce jour là, il quitte le combat en plein ciel lorsqu’il se retrouve face au célèbre "pilote à l’edelweiss" ! Ce qui coute cher à ses collègues.
De retour à la base, Castillac accepte une mission : voler à basse altitude pour accompagner et déposer un homme derrière les lignes ennemies pour observer ce qui s’y passe…

 

Par berthold, le 7 janvier 2012

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Notre avis sur PILOTE A L’EDELWEISS (LE) #1 – Valentine

Après les trois tomes de la série " Le Grand Duc", le scénariste Yann retrouve son compère Romain Hugault pour nous entrainer vers les cieux de la Première Guerre mondiale avec ce nouveau titre : Le pilote à l’edelweiss. 

Il est vrai qu’avec Le Grand Duc qui nous entrainait sur le front russe lors de la Seconde Guerre mondiale, le duo nous avait sidérés, laissé pantois devant tant de talent.
Ils remettent le couvert avec cette nouvelle saga qui nous présente les frères de Castillac : Henri et Alphonse, deux pilotes d’avions, deux  hommes amoureux de la même femme. C’est ce que l’on apprend avec les flash-backs qui nous renvoient en l’année 1910 à Paris. 
Yann s’intéresse donc de près à ces deux personnages ainsi qu’à celui de Valentine Touchet.  Il use d’un certain mécanisme pour nous perdre, pour nous surprendre dans les pages de cette saga. Il n’oublie pas non plus de nous montrer et de mettre en scène les combats soit aériens, soit au sol. Alphonse de Castillac étant officier dans un blindé. D’ailleurs, nous le verrons lors de scènes d’actions spectaculaires s’enfonçant sur les lignes ennemies.

Romain Hugault va encore nous en mettre plein la vue lors de scènes de combats d’avions. Mais aussi avec des scènes de vol assez belles. Le dessinateur s’amuse sur ses planches et cela se voit. Hugault a un sacré talent et risque de devenir l’un des spécialites du genre.

Ce premier tome s’avère être l’une des belles surprises en ce début d’année 2012. Une oeuvre qu’il ne faut pas manquer.
Engagez-vous dans l’escadrille des Cygognes et affrontez sans peur le pilote à l’edelweiss !

 

Par BERTHOLD, le 7 janvier 2012

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