PERCY JACKSON
Le Voleur de Foudre

Percy Jackson n’est pas un jeune garçon comme les autres. Il a quelques problèmes du côté scolaire, il ne connait pas son père et le jour où sa prof de maths, Mme Dodds, l’attaque en se transformant en furie, il va comprendre que son destin n’est pas celui d’un garçon comme les autres. Il va apprendre que son père est un dieu, qu’il est accusé d’un vol : il aurait pris l’Eclair de Zeus et que sa vie est donc en danger.
Avec l’aide de son ami Grover et de la belle Annabeth, il va se lancer dans une quête pour découvrir l’identité de son père et surtout prouver qu’il n’est pas un voleur…

 

Par berthold, le 3 mai 2011

Notre avis sur PERCY JACKSON #1 – Le Voleur de Foudre

Je suis sûr que vous connaissez , ou du moins, que vous avez entendu parler de Percy Jackson, le personnage de roman crée par Rick Riordan qui fait un succès en librairie, et qui a connu il y a peu une adaptation cinématographique assez réussie.
Il ne manquait plus donc que le format BD. Et c’est donc chose faite grâce à l’adaptation de Robert Venditti (scénario) et de Attila Futaki (dessin).

C’est donc un livre assez réussi, au dessin réaliste (pour les connaisseurs, le trait de Futaki se rapproche de celui de Ponzio). Même si vous avez déjà lu le roman ou vu le film, vous serez pris par le récit et vous le lirez avec grand plaisir.
Dans ce premier tome, les éléments se mettent en place, nous faisons connaissance avec les personnages.
Dans l’esprit, cela se rapproche d‘Harry Potter avec un garçon qui serait l’Elu sauf qu’ici, c’est la mythologie grecque qui est concernée. Nous croiserons les Parques, une furie, une chimère, un satyre, Chiron, Arès, Hadès ou encore Charon, ainsi que Zeus et Poséidon. Percy dans ce tome découvrira qui est son père et va vivre une première aventure assez surprenante.
L’histoire se tient et reste un excellent divertissement servi par un dessin agréable.

Ce tome 1 est donc une bonne adaptation et promet pour la suite. Alors, si vous n’avez pas encore osé entrer dans le monde de Percy Jackson, c’est l’occasion ou jamais.

 

Par BERTHOLD, le 3 mai 2011

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