OUTCAST
Souffrance

Kyle Barnes est toujours autant tourmenté par ses démons et cela depuis son jeune âge ! A force d’étudier sa vie et les evenements qui l’ont perturbé il commence à à y voir plus clair sur ce mal. Par contre, pour le révérend Andreson, qui a toujours accompagné Kyle, sa vie risque de devenir plus difficile…

Par berthold, le 11 janvier 2016

Notre avis sur OUTCAST #2 – Souffrance

Souffrance, second volet de la série reprend les épisodes Outcast   7 à 12.

Pour ma part, dès la lecture du premier opus, je suis devenu fan de cette nouvelle série fantastique. Outcast a du potentiel. D’ailleurs, en 18 mois à peine, le comics devient une série TV. C’est l’acteur Patrick Fugit (Gone Girl) qui interprète Kyle Barnes. La série TV va d’ailleurs débarquer assez vite sur le petit écran.

On remarque que Kirkman s’intéresse beaucoup aux personnages principaux, au contexte, en installant l’ambiance. Dans ce tome, ce n’est que vers la fin qu’il se passe quelque chose de vraiment effrayant. Mais il y a un je-ne-sais-quoi qui captive, qui nous envoute jusqu’à la dernière page.
Nous découvrons que le père Andreson doit faire face à sa foi et ne pas montrer sa peur. Il est aussi "marqué" par son combat. Des personnages semblent aussi cacher leur jeu. Mais Kirkman montre aussi la douleur d’un père qui n’a pas pu voir depuis un moment sa fille et sa relation avec son ex-femme, où on nous laisse entendre que la vérité sur leur séparation ne pourrait pas être celle à laquelle nous pensions.
Kirkman se joue un peu de nous et nous manipule pour mieux nous surprendre.

Paul Azaceta (B.P.R.D.) illustre avec talent ce récit. Avec l’aide de la coloriste Elisabeth Breitweiser, il ajoute une ambiance particulière à cette intrigue qui nous donne tout de même la chair de poule ! Il y a de très belles scènes visuelles fortes dans ce second volume !

Un second volume qui prouve qu’il faut suivre cette série fantastique. Après The Walking Dead, Kirkman frappe à nouveau très fort !
A suivre, sans hésiter un instant !

 

Par BERTHOLD, le 11 janvier 2016

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