OREPIA
L'heritier d'Atlantis

Le Royaume d’Orepia.
La puissante cité d’Ardeia est attaquée. Ardeia est la propriété du Warin. Ce dernier avait embauché une troupe de mercenaires pour défendre sa cité. Mais les autres défenseurs ne semblent pas faire le poids face aux assauts des troupes adverses.

Adhémar est le chef de ces mercenaires. Sa troupe est redoutable, mais elle est fort hétéroclite. Là, face à l’avancée de l’ennemi, le capitaine n’a pas d’autres choix que de sortir ses compagnons de là et d’amener avec eux le duc Warin qui, de plus, leur a proposé une grosse somme d’argent pour sa protection.

Malheureusement, sa fortune tombe avec sa cité. Néanmoins, il a une autre part de fortune ailleurs. Adhémar et ses compagnons vont l’y emmener.
Ce voyage ne va pas être de tout repos. Des  berserks sont sur leur piste et, au sein de la troupe, il y a quelques animosités…

 

Par berthold, le 3 octobre 2021

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Notre avis sur OREPIA #1 – L’heritier d’Atlantis

Orepia est la nouvelle série d’heroic-fantasy de Fabien Dalmasso.

D’entrée, le scénariste nous plonge dans la bataille, avec l’attaque de la cité du Duc Warin. Ainsi, nous allons faire connaissance d’Adhémar et de ses mercenaires. Une petite troupe assez hétéroclites dont nous ferons connaissance avec les membres, petit à petit. De plus, nous allons voir que cette équipe ne semble pas du tout s’entendre. Ca se chambre, ça s’insulte et, pourtant, ils suivent leur capitaine les yeux fermés.
Nous allons voir qu’outre Warin, ce duc qui leur doit de l’argent, ils sauvent un jeune garçon dont nous ne savons pas trop qui il est.
Le lecteur va aussi faire connaissance avec leur terrible adversaire.

Pourchassés par des berserks, ils vont se rendre dans un autre royaume pour les prévenir du danger qui guette et, pour Warin, retrouver une part de sa fortune.

Salmasso nous réserve quelques surprises dans cette aventure.
Le traitement des personnages est assez étonnant pour ce genre là. Il y a de l’humour, mais aussi quelques moments dramatiques. L’action est omniprésente. C’est vrai que le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer.
L’intrigue parvient à nous captiver.

Jae Hwan Kim fournit un travail efficace, bien accompagné des couleurs de Cyril Vincent.
Les personnages sont bien choisis. Ils sont expressifs. Vous y verrez de très bonnes choses dans la mise en page et dans certaines pages.

Ce premier tome d’Orepia est un très bon divertissement, qui propose un nouvel univers fantasy que les amateurs découvriront avec grand plaisir.
Suivez sans hésiter Adhemar et ses mercenaires dans cette aventure qui vous donnera très envie de découvrir le prochain volet : Le Fléau d’Orient.

 

Par BERTHOLD, le 3 octobre 2021

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