OKHEANIA
La Chute

Okhéania est une planète dont la surface est formé par un océan de végétation. Jon et asper, deux amis inséparables aimaient surfer sur cette mer mais un coup de tsunami les a séparé. Jon s’est retrouvé sous cette mer et Jasper qui avait été récupéré à bord de son navire a été inculpé d’espionnage par une femme au service de l’Imperator nommé Darianna. Le garçon a réussi a prendre la fuite et Darianna la pris en chasse. Malheureusement, Jasper a disparu sous la surface.
Jasper va retrouver Jon et Tania. Mais Jon ne rêve que de remonter à la surface pour pouvoir surfer. L’occasion lui en sera donné lorsqu’il va rencontrer Hélénia, la fille de l’Imperator qui a été enlevé et qui va le manipuler…

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur OKHEANIA #2 – La Chute

Quel enchantement que le monde d’Okhéania !
Ce second tome confirme tout le bien que j’en ai pensé dès le premier épisode.

Nous retrouvons donc avec plaisir Jon, Jasper et Tania pour le suite de ce récit qui permet d’en découvrir plus sur le monde d’Okhéania où nous allons voir un des atolls habités comme Ever Rest, l’endroit où se trouve l’Imperator.
Corbeyran imagine un bien beau monde , original, mais qui ne manque pas de danger (comme les requins volants). Le scénariste arrive aussi à nous tenir en haleine et à nous émerveiller tout du long du récit. Cette série est faite pour nous surprendre.
Il faut aussi noter la beauté du dessin et des couleurs. Alice Picard qui nous émerveille les yeux avec la série Weëna, ici, se surpasse. Sa complice, Elsa Brants, nous offre des couleurs superbes qui illumine ce monde d’Okhéania.
Nos allons en apprendre un peu plus sur le caractère des personnages et nous a ons droit à une superbe scène qui risque de finir comme d’anthologie avec l’attaque des requins-volants. Cette scène est vraiment impressionnante, j’en suis resté scotché d’admiration.

Cette série n’a pas fini de nous surprendre. Et j’espère que la suite ne tardera pas trop. Allez embarquez donc pour le monde d’Okhéania, la visite en vaut la peine.

Par BERTHOLD, le 22 septembre 2008

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