NIGHTWING (VF)
Sweet home Chicago

Dick Grayson a appris que l’homme qui a tué ses parents n’est pas mort ! Tony Zucco serait quelque part dans Chicago ! Nightwing s’y installe donc pour trouver une piste qui lui permettra d’arrêter Zucco. Mais Chicago n’est pas une ville comme les autres. Un mystérieux tueur a purgé la ville de ces justiciers masqués, et un dénommé The Prankster a trouvé un moyen de terroriser les criminels à l’aide de pièges très élaborés. Sa cible semble être l’une des personnes les plus en vue de la ville…

 

Par berthold, le 11 août 2014

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Notre avis sur NIGHTWING (VF) #4 – Sweet home Chicago

Sweet home Chicago est le quatrième volume des aventures de Nightwing. Ce titre reprend les épisodes Nightwing #19-24.

La série Nightwing est une très bonne série.
Kyle Higgins nous raconte ici comment Dick Grayson se lance à la poursuite de l’homme qui a assassiné ses parents, de l’homme qu’il croyait mort, du père de Sonia Branch, l’ami de Grayson : Tony Zucco.
On apprend vite quelle place a ce tueur, dans la ville de Chicago. L’homme a, certes, refait sa vie, mais l’arrivée du Nightwing va perturber son quotidien. De plus, une autre menace apparait : le Prankster ! Là aussi, cet "invité surprise" a un plan qui se dévoile dans les derniers chapitres. Le scénariste nous montre aussi une ville de Chicago bien plus énigmatique qu’elle n’y parait. On apprend que les justiciers de la ville ont tous disparu. Mais à cause de qui et pour quoi ? On ne le sait pas pour le moment.
Higgins signe là une excellente intrigue, très prenante et bien conçue, qui arrive à nous captiver du début à la fin. Il s’applique à bien faire ressentir les émotions qui ressortent de ces personnages. En fait, il y est beaucoup question de famille, de relation père/fils et de vengeance.
Côté action, on est servi. Pas de répit dans cette aventure où tout comme le Nightwing, nous survolons la ville à travers ses toits.

Les dessinateurs Brett Booth et Will Conrad nous offrent ici un travail de très bonne qualité. De toute façon, il fallait rester au même niveau qu’Eddy Barrows qui, dès les premiers épisodes de cette série, avait su planter un rythme, un style et une ambiance particulière dans ces pages. Will Conrad sort quand même du lot. Il nous permet d’admirer de très belles planches dont certaines nous offrent de beaux passages impressionnants.

Sweet home Chicago est une excellent surprise. Un must même, à posséder sans hésiter un moment.

 

Par BERTHOLD, le 11 août 2014

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