NEXTWAVE
Rendez-vous avec la H.A.I.N.E

Les Etats-Unis peuvent presque dormir tranquilles, un groupe de super agents nommé HAINE ( l’acronyme de Horde d’Agents Irréductibles contre les Néo-Extrémistes) a pour but d’éradiquer toute forme de menace sur le sol national. Pour mieux lutter, le charismatique commandant en chef de la HAINE, le général Dirk Anger, monte une petite équipe de super-héros : NEXTWAVE, dans le but de combattre les armes non conventionnelles de destruction massive. Cette équipe est composée de : Monica Rambeau (Photon), Machine Man, Meltdown, la chasseuse de monstres Elsa Bloodstone et Captain.
Mais Monica découvre que l’équimentier de la HAINE est le groupe BEYOND qui est le nouveau nom de l’ancienne cellule terroriste nommée : SILENCE. Aussitôt elle fait sécession, ainsi que ces collègues, avec la HAINE et ouvre une guerre sans pitié à Anger.

Par eric, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur NEXTWAVE #1 – Rendez-vous avec la H.A.I.N.E

Avec ce nom assez énigmatique difficile de voir que NEXTWAVE est une nouvelle équipe de super héros de l’univers Marvel tel que nous le connaissons. Et pourtant, au nom de Meltdown on devrait reconnaître Tabitha Smith, ancienne pensionnaire des X-Men et de X-Force. Mais en lisant cette série on a tout le temps l’impression de sombrer dans la parodie et la dérision. On est bien aidé en cela par le général Anger qui est l’antithèse de Nick Fury (d’ailleurs les noms sont assez semblables Fury voulant dire fureur et anger signifiant colère dans notre belle langue). Même les noms des organismes et autres groupes terroristes font sourire tant ils sont ridicules. Les missions sont aussi ridicules et les répétitions de Photon sur son appartenance aux Vengeurs, le sont tout autant.
Mais ce qui renforce ce sentiment parodique c’est le dessin de Stuart Immonen. Nous sommes loin des canons du style Marvel, dans Nextwave son style est un peu décalé comme celui de Ramos. Il met ainsi en scène des personnages aux allures et aux carrures exagérées, que ce soient les hommes ou les femmes. De son trait on a l’impression que les personnages sortent de la masse et semblent taillés à la serpe. Tout cela donne un univers et une équipe totalement décalés mais terriblement efficaces et attachants.
Il est dommage que la série s’achève sur cet album qui compile les 12 numéros sortis aux USA.

Par Eric, le 28 juillet 2007

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