NÄVIS
Princesse Nävis

Nävis et Houyo jouent tranquillement dans la jungle. Et Houyo semble un peu lasse de voir tout le temps Nävis  gagner au jeu. Mais il faut dire que la petite humaine invente des règles tellement complexes que Houyo s’avoue vaincue d’avance tellement c’est incompréhensible.
De retour à la maison Nsob les rappelle à leur devoir et surtout à leur rangement. C’est à cette occasion que Nävis découvre un casque bien particulier. Un casque  qui va totalement la bouleversée et entrainer un changement de comportement radical…

Par eric, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur NÄVIS #5 – Princesse Nävis

Rassurez-vous rien de dramatique dans ce tome, encore que. Il s’agit ici tout simplement du thème de l’addiction au jeu vidéo chez les enfants. Car le casque que découvre Nävis n’est autre qu’un casque de jeu vidéo en réalité virtuelle. Mais ce que Morvan parvient à montrer en abordant ce thème c’est que ce jeu est connecté en réseau pour tester les capacités de commandement des futurs combattants. Nävis découvre presque par hasard qu’elle n’est pas la seule humaine dans la région. A la suite de cette histoire, on comprend mieux comment Nävis est devenue LA Nävis que nous connaissons bien dans Sillage.
Ce qui me fait acheter systématiquement cette série  outre son prix "abordable" (non je n’arrêterais pas sur ce sujet) c’est le dessin de Munuera et les couleurs de Christian Lerolle (déjà du temps où il officiait chez les Color Twins). Ils font encore des merveilles sur cet album bien particulier qui tranche par rapport au reste de la série. Je me souviens encore d’une rencontre entre Munuera et Guarnido dans la galerie Maghen (à  ce moment l’album devait être en cour d’impression) et aussitôt cette album ressemble presque à une forme d’homage du premier envers le second.
Mais finalement ce tome, aussi bien réalisé soit-il, il m’a un peu déçu. Car je le trouve bien loin des aventures de Nävis. Même si on comprend mieux certains choses, comme la présence de ce simulateur ou le fait que la petite Nävis n’a jamais été secourue par ses congénères. Cet univers virtuel tranche beaucoup trop à mon avis avec la série elle-même.

Par Eric, le 7 janvier 2009

Publicité