NARVALO
Mercenaires princiers

Un groupe de mercenaires  est embauché pour protéger une plate-forme "offshore" qui n’est autre que ‘la Principauté de Zeeland" : le premier territoire totalement indépendant du cyberespace. 
Narvalo est le chef de ce groupe composé de Bill, Houphouet, Manu et "C3po’, un vétéran de Tchétchénie.

Au départ, la mission semble calme, mais cela ne durera pas.

Par berthold, le 1 janvier 2001

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2 avis sur NARVALO #1 – Mercenaires princiers

NARVALO est une nouvelle série écrite par Yann, le scénariste des Innomables, Les éternels, Pin-up, La patrouille des libellules,… Yann s’inspire de l’actualité pour ses récits, cela apparait dans Narvalo : la plate-forme Zeeland n’est inspiré que par "Sealand", "C3po" est un vétéran de Tchétchénie, de même que certaines femmes qui ont fait l’Irak (voir l’innénarrable passage où ils se remémorrent leurs blessures de guerres), la "maladie" qui ronge le visage de l’homme mystérieux est inspiré par les derniers évenements en Ukraine. Bref, tout cela nous donne un thriller musclé, nerveux, efficace. servi par des dialogues savoureux dont Yann a le secret.
Juszezak ("OKI" (glénat),  l’excellent "Le méridien des brumes"dont il est scénariste avec Parras au dessin chez Dargaud) est parfait au dessin avec son trait réaliste. Certaines scénes semblent sortir de chez John Woo : voir les scénes de "gunfight". Un dessin aussi tres détaillé.
Le personnage de Narvalo est intéressant : un homme qui est accusé d’un meurtre, qui s’appelait Nervalac auparavant et qui est devenu mercenaire. 
Une nouvelle série qui semble prometteuse. Nous connaitrons la fin de cette aventure avec le tome 2.
Alors, si vous aimez "Insiders", "Wayne Shelton",…cette série devrait vous plaire.

Par BERTHOLD, le 25 août 2005

Je ne sais pas vous, mais pour moi avec un tel nom de héros (Narvalo), cette série ne faisait pas réellement sérieux. Et pourtant, à sa lecture, on est surpris. Le scenario tient bien la route en s’appuyant sur des éléments réels. L’histoire fait la part belle à l’action et à l’espionnage (qu’il soit militaire ou industriel). Il faut donc passer le cap du feuilletage rapide. En effet, on pourrait tomber sur des insectes géants qui font en fait parti d’un jeu de réalité virtuelle. Car Narvalo était anciennement un développeur.
Ce personnage, semble atypique, le héros qui le devient alors qu’il n’était pas formaté pour cela. Des zones d’ombres l’entoure ainsi que son équipe. Ce qui promet de bonnes intrigues.
Quant au dessin, on retrouvera le dessinateur sur le cinquième opus de Pandora Box. Sur ce tome là, sont travail est parfait. Le style est réaliste et bien détaillé.
Narvalo s’intègre bien dans une collection qui comporte déjà des séries comme Insiders et Wayne Shelton.

Par Eric, le 9 septembre 2005

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