MISSI DOMINICI
Livre second : Mort

Wolfräm et De Guivre, les deux Missi Dominici, sont sur la piste de Jélami, l’Infant zodiacal protégé par son peuple, les Lives. Mais, les deux hommes ne sont pas les seuls à suivre cette quête. Ils sont quatre. Guerre, Famine, Pestilence et Antéchristus sont leurs noms.
Les deux Missi Dominici sont près de retrouver l’enfant. Lorsqu’ils seront en face de lui, il faudra le convaincre de rejoindre le Bien. Mais cela ne sera pas une affaire facile…

 

Par berthold, le 16 octobre 2010

Notre avis sur MISSI DOMINICI #2 – Livre second : Mort

La couverture de ce livre second en jette, vous ne trouvez pas ? La couleur attire votre regard, le personnage semble prêt à dévoiler qui il est. Est-ce Mort comme le titre l’indique ? Thierry Gloris et Benoit Dellac vont vous faire quelques révélations dans ce second opus.
Le premier tome m’avait beaucoup plu. J’attendais donc avec impatience la sortie de ce tome. Et donc, lorsque je l’ai eu en main, je me suis empressé de le lire.

Nom de Zeus ! Je m’en remets à peine. Que de révélations au sujet de Wolfräm ! Je ne m’attendais pas à des origines comme celles là. Il n’a pas eu une vie facile, le bonhomme. Gloris en rajoute donc sur le mythe et le charisme du héros.
L’auteur dissémine petit à petit dans son récit comment Wolfräm est devenu ce guerrier, puis un Missi Dominici.
Nous poursuivons aussi leur quête, la recherche de l’Infant zodiacal. Ce tome ne nous laisse que peu de répit. Nous sommes pris par l’histoire, nous suivons les héros, nous souffrons avec eux ! Le Moyen-âge vu par Gloris est violent, âpre et intéressant. Il a insufflé une dose de fantastique qui correspond bien au ton du récit.
Ah, et quel dénouement pour ce second volume ! Je m’en remets à peine. Là aussi, j’ai hâte de lire la suite.

Au dessin, nous avions découvert Benoit Dellac sur le premier tome. ici, il nous enchante une nouvelle fois par son trait. Tenez, prenez donc cette belle double page en pages 40 et 41 qui donne vraiment le ton, l’atmosphère de Missi Dominici. Certaines scènes sont assez dures, rudes et d’autres nous permettent de respirer, d’admirer le paysage avant de retomber dans la violence.
Il faut souligner aussi l’excellent travail d’Anouk Bell aux couleurs.

Mort est donc un récit bien prenant qui nous invite à poursuivre la série.
Suivons donc, sans crainte, ces Missi Dominici dans leur quête !

 

Par BERTHOLD, le 16 octobre 2010

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