MINA LOWEEN
Coeur de goulus

La vie de Mina a changé depuis le décès de sa mère quatre ans auparavant. Et le fait que son père refasse sa vie, n’arrange rien. Alors à 13 ans, Mina développe un caractère de cochon que seule sa meilleure amie peut comprendre. Mais la veille d’Halloween, Kathy s’absente et Mina se retrouve seule. Elle décide de se rendre sur la tombe de sa mère pour lui tenir compagnie. En déjouant la vigilance du gardien, elle parvient à réaliser ce projet. Mais au beau milieu de la nuit elle croit avoir des hallucinations en voyant son amie Kathy au beau milieu des tombes. Elle est poursuivie par un mystérieux individu qui l’enferme dans une bouteille. Mina en tentant de lui venir en aide, se rend compte qu’elle n’est pas de taille et se retrouve prise au piège dans le monde des goulus, au royaume des morts.
Tout cela aurait pu être un rêve, si le lendemain matin, revenue chez elle, elle apprend le décès de son amie dans un accident. Mina décide alors de lui venir en aide et de partir à la recherche de ce Nécromant qui lui cherchait querelle la nuit passée.

Par eric, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur MINA LOWEEN #1 – Coeur de goulus

Au delà du jeu de mot facile avec son titre, qui donne déjà le ton de la série, Mina Loween se présente comme une manière de rendre le monde des morts plus amusants. En effet, ici on arrive à mêler des sentiments touchants avec le burlesque conférant au thème abordé dans cette bande dessinée une touche d’espoir.
Certes, le fond de l’histoire peut sembler glauque mais loin d’un Tim Burton avec son Etrange Noël de Mr Jack, le travail de Lillycat rend cette histoire plus guillerette avec ses couleurs éclatantes. Ainsi Mina Loween, peut prétendre à être un conte de fée moderne. Car tout le monde sait que les contes de fées finissent toujours bien.
L’histoire de Mina est menée tombour battant, le lecteur est happé en même temps que l’héroïne dans cette aventure initiatique.
Certes j’ai associé Mina Loween aux contes de fées, car tout le monde sait que ces derniers finissent bien. Mais en sera-t-il de même pour l’histoire de Mina ?

Par Eric, le 28 août 2006

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