Midnight Nation

David Grey et sa guide Laurel, mystérieuse et envoûtante, parviennent enfin à New York, au bout d’un an de marche, les Marcheurs étant toujours sur leur talon, et prêts à livrer bataille. Les marques sur le corps de David attestent que le temps est limité pour récupérer son âme. A peine arrivée, il fait la connaissance du Maître des Marcheurs, qui lui explique l’issue de sa quête.
David pourra récupérer son âme, mais cela causera la perte de Laurel. C’est d’ailleurs le chemin suivi par tous les précédents marcheurs avant lui. Son destin semble donc tout tracé, et son amour pour Laurel voué à mourir avec elle… Mais la prédiction du Maître des Marcheurs va t-elle une nouvelle fois se vérifier ?

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur Midnight Nation

C’est avec plaisir que je retrouve les deux derniers épisodes de Midnight Nation dans ce Semic book de bonne facture mais auquel il manque un petit détail… Toutes les couvertures des numéros souples en français, et summum, les couvertures américaines. Mais bon, ne boudons pas notre plaisir, mis à part ce détail, nous voilà avec la conclusion d’une série que j’avais grandement apprécié lors de sa sortir en version souple, dévorant les numéros les uns après les autres. Cette réédition en format plus classieux permet de découvrir cette série de bonne qualité à mon avis. Il est vrai que j’apprécie également la série Rising Stars du même scénariste, donc je ne pouvais décemment pas manquer Midnight Nation.
Bon, en essayant de rester objectif un maximum, l’histoire est assez originale sur le début de la série, mais la fin est prévisible dès que l’on a saisi les enjeux, et pourtant, j’ai savouré ma lecture, car l’histoire est bien rythmée, bien agencée, et finalement se démarque assez des histoires classiques qu’on a l’occasion de lire en France chez Semic. Ce n’est peut-être pas très objectif de ma part, mais j’avoue que peu de séries on obtenu mes faveurs ces dernières années, et Midnight Nation en fait partie.
Si l’on parle des dessins un tantinet, c’est correct mais cela ne casse pas trois pattes à un canard. C’est sur que si on compare avec la série Vampi c’est forcement mieux. En bref je n’ai pas noté de problèmes flagrants dans les dessins, qui sont agréables, coulent bien, et donnent une lecture agréable.
Bref, si vous n’avez pas saisi, je vous recommande Midnight Nation, en version Semic Books, qui feront plus conventionnels que les versions souples, et qui sont surtout dénués de pub et agrémentés d’un marque page.
Bonne lecture !

Par Siam l'Archiviste, le 3 décembre 2003

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