MIA & CO
Tome 2

 
Dans l’espoir qu’elle ait de meilleures notes, Mia a été inscrite par ses parents dans un collège privé. Malheureusement, la pauvrette s’y déplaît fortement et elle y trouve tout archi nul. Mais le pire, c’est qu’elle passe toutes ses journées séparées de ses amis qui eux, continuent leur scolarité ensemble.

Par bonheur, il reste l’appartement du grand-père de Wilfried : là où tous se retrouvent en fin de journée, là où la "vraie vie" peut continuer, là où ils peuvent discuter, jouer aux jeux vidéo… Et vivre des aventures ensemble : pénétrer dans une vieille maison en passe d’être vendue et y tourner un film, ce qui va pousser Mia à faire du baby sitting pour s’acheter un micro. Ou s’inscrire à un concours de jeux vidéo, et y rencontrer Ophélie…
 

Par sylvestre, le 14 février 2018

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur MIA & CO #2 – Tome 2

 
Dur dur, la vie d’ado, dur dur quand c’est les parents qui décident ! Heureusement, il y a toujours moyen de mentir un peu sur son emploi du temps et de se réserver ainsi quelques heures de plus avec les potes ! Minimisée donc, la rage de Mia de se retrouver éloignée de ses amis tous les jours, et place au bon temps qu’elle réussit malgré tout à prendre avec eux. Car c’est certain : cette amitié qu’elle aime vivre avec Gauthier, Zouzou et Louka, c’est ce qui la construit !

Chronique de la vie quotidienne d’une jeune collégienne, Mia & Co nous raconte les aventures d’un groupe de copains avec leur joies, leurs peines, leurs délires et leurs projets. Il faut de tout pour faire leur monde, et c’est ainsi qu’on voit Mia et ses amis, dans ce tome 2, en proie aux frissons, à l’excitation ou à l’esprit de compétition. Qu’on voit Mia gagner quelques sous pour atteindre un objectif, qu’on la voit dépitée d’apprendre que le beau Nils a une copine, anéantie lorsqu’elle se fait voler son portable ou bonne perdante quand une nouvelle amitié s’invite dans son monde !

C’est sympa, c’est frais, ça sonne juste. C’est l’adolescence insouciante dans toute sa splendeur, de belles années, les premières briques de la nostalgie qui ne manquera pas de sourdre des années plus tard…
 

Par Sylvestre, le 14 février 2018

Publicité