MARVEL ICONS (V2)
... A cause de ce que j'ai fait

Un peu de quiétude au sein des Vengeurs de Luke Cage. ils vont même demander au Dr Strange d’intégrer l’équipe. Il va falloir qu’ils acceptent la présence de Victoria Hands et les salaires prévus par Steve Rogers, leur "patron". Mais Luke Cage et sa femme ont un autre souci en tête…

Alors que Tony Stark présentait une nouvelle fois sa voiture prototype de Stark Résistance, il est attaqué par des centaines de drones. War Machine et Rescousse viennent lui prêter main-forte. Après avoir revêtu l’armure d’iron Man, Stark subit aussi l’assaut de Detroit Steel…

Red Richards a retrouvé son père Nathaniel qui avait disparu il y a quelques années dans une explosion temporelle.

 

Par berthold, le 28 septembre 2011

Notre avis sur MARVEL ICONS (V2) #8 – … A cause de ce que j’ai fait

Ce qui est bien avec ce numéro, c’est que nous avons droit à trois récits différents, trois ambiances différentes.

Même s’il y a peu d’action dans l’épisode des Nouveaux Vengeurs (New Avengers 7), Bendis arrive à nous interesser à ce qui s’y passe. En effet, c’est plutôt une histoire bien calme mais fun qui nous attend dans ces pages. On s’y attarde sur le Dr Strange, sur l’ambiance au sein du groupe (il faut voir le Logan qui ne fait que manger  et Spider-Man ralant sur la presence de Victoria Hands ) ou encore sur la recherche de la "nounou" pour le bébé de Cage. C’est drôle, ça se lit avec grand plaisir et le dessin d’Immonen est toujour aussi efficace.

Avec Invincible Iron Man (#32), l’action est omni-presente avec les combats d’Iron, Rescousse et War Machine contre des drones et Detroit Steel commandités par Justine et Sasha Hammer. Fraction maintient un bon suspense servi par le graphisme efficace de Larroca.

Quand à Fantastic Four (#582), Hickman nous entraine dans des visites temporelles où nous croisons le père de Red Richards ou encore des versions adultes de Valeria et Franklin.  Le scénariste a réussi à écrire des histoires solides et passionnantes concernant les Quatre Fantastiques et il le montre ici encore une fois.
Neil Edwards y fait encore une belle démonstration de son art dans ces pages.

Bref, un numéro de qualité qui ravira les aficionados !

 

Par BERTHOLD, le 28 septembre 2011

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