MARVEL ICONS HORS SERIE
Steve Rogers, le super-soldat

Pete Wisdom a donné rendez vous à Steve Rogers dans un café de la ville. L’agent anglais lui montre quelques photos d’un homme qui vient de mourir. Rogers ne comprend pas trop pourquoi. Wisdom lui explique que, justement, l’homme qui est mort était un témoin travaillant comme scientifique aux laboratoires pharmaceutiques Nextin et dont le directeur se nomme Jacob Erskine. Ce nom rappelle des vieux souvenirs pour Rogers. En effet, Erskine est le créateur du sérum du super-soldat. Rogers va devoir enquêter la dessus. La piste va le mener à Madripoor où Rogers va croiser une femme qui ressemble beaucoup à une connaissance de son passé lors d ela seconde guerre mondiale…

 

Par berthold, le 20 juin 2011

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Notre avis sur MARVEL ICONS HORS SERIE #21 – Steve Rogers, le super-soldat

Ce nouveau numéro de Marvel Icons reprend la mini-série : Steve Rogers, Super-Soldier#1 à 4.

Le récit digne d’une bone histoire d’espionnage et d’action est donc signé par l’homme qui a tué Steve Rogers : Ed Brubaker. L’auteur qui n’arrête pas de nous surprendre sur Captain America et sur Secret Avengers nous narre ici une bonne histoire bien prenante, servi par un bon suspense et où le lecteur sera sous l’emprise du rythme imposé par l’auteur. Action, rebondissements divers et surprises vous attendnent dans ces pages. Brubaker plaçant ici le sbases de ce qui risque de nous attendre dans les pages des séries citées plus haut concernant surtout le Conseil de l’Ombre.
Steve Rogers, même sans son costume de Captain America, montre qu’il est aussi un personnage intéressant et que le elcteur peut compter sur lui si les histoires sont de grandes qualités comme l’est cette mini-série.

De plus, le graphisme est du au talent de Dale Eaglesham qui s’est fait remarquer sur des épisodes de la Société de Justice (DC Comics) ou récemment sur les Quatre Fantastiques. Ici, il nous épate une nouvelle fois grace à son savoir-faire. Tenez ! Prenez donc les pages où Rogers est à Madripoor. Regardez bien la maîtrise d ela construction de ces deux pages. Impressionnant non ? 
Et ce n’est pas fini tant Eaglesham arrive à nous en mettre plein la vue à plusieurs reprises ici.

Ce récit s’avère être une bonne surprise , un bon divertissement mené par une équipe créative de talent.  A ne pas manquer donc !

 

Par BERTHOLD, le 20 juin 2011

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