MARTHA WASHINGTON GOES TO WAR
Martha Washington goes to war

(Martha Washington goes to war 1 à 3)

Martha est donc devenue l’une des élites de la Pax, fidèle, sérieuse et complètement dans la droite lignée de sa hierarchie elle participe donc à l’attaque qui est censé libérer le nouveau Mexique des troupes de la corporation. Seulement voilà, alors que ses hommes tombent un à un, elle finit par tomber derrière les lignes énnemies, et lorsque les chasseurs de la Pax viennent bombarder la zone elle se retrouve entre deux feux, devant fuir à tout prix, quitte même à se réfugier dans la fameuse zone radio active, au creux de l’énigme qui recouvre la région, véritable objectif de sa mission !!!

Mais rien n’est vraiment simple pour Martha, Alors qu’elle s’enfonce davantage dans le nuage mortel elle découvre qu’il s’agit d’un leurre, censé protéger une communauté pacifiste, isolé pour mieux continuer leur recherche…

Par fredgri, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur MARTHA WASHINGTON GOES TO WAR #1 – Martha Washington goes to war

Revoilà donc Martha Washington, toujours fidèle à la Pax, malgré tout ce qu’ils lui ont fait subir !. Mais déjà ses certitudes commencent à voler en éclats. Miller ne s’attaque pas seulement à l’absurdité de la guerre, au pouvoir grandissant des grandes corporations mais il creuse le doute qui se glisse dans la tête des gens quand le pouvoir prend le dessus sur les convictions. Martha devient plus un symbole qu’autre chose, plus même qu’une combattante qui veut aller jusqu’au bout de ses idées. Bon j’aurais tendance à trouver le propos de Miller un brin caricatural, sans vraie subtilité, néanmoins le propos est intéressant, entre gravité et parodie, allant même jusqu’à entretenir l’ambiguïté qu’il peut y avoir à s’immerger aveuglément (et peut-être naïvement) dans une cause qui dépasse nos propres convictions !

Je ne retrouve malgré tout pas la finesse de Give me liberty dans cette suite, dommage, car franchement le sujet est porteur, il n’empêche que c’est un truc à lire, ne serait ce que pour retrouver un Miller particulièrement inspiré et un Gibbons au sommet de son art !

Par FredGri, le 27 septembre 2007

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