MANGA SCIENCE
A la découverte du corps humain

Drriiing ! La récré est terminée. Tous en classe ! Cours de biologie… "A la découverte du corps humain" porte bien son nom, car si l’on croit bien connaître quelqu’un, c’est soi-même. Et pourtant, il y a parfois des multitudes de petites choses que l’on ne sait pas toujours sur soi mais qu’il ne serait pas plus mal de savoir. Yoshio, Asari et Ayamé sont pour l’occasion nos enseignants. Des enseignants qui, en fait, apprennent en même temps que nous !

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur MANGA SCIENCE #1 – A la découverte du corps humain

La déferlante Manga n’est pas prête de s’arrêter. Des dizaines d’années d’existence au Japon contre quelques unes seulement en Europe : les trésors de ce style de BD (comme d’autres choses moins bonnes, d’ailleurs) arrivent avec un retard plus ou moins grand chez nous.

Avec cette série, "Manga Science", c’est le pédagogique qui s’invite chez nous au travers la BD japonaise. Un peu comme certaines séries télé diffus(ai)ent des épisodes pour que les enfants comprennent mieux les mystères du corps humain, ce tome 1 s’attelle à la tâche de répondre à certaines questions toutes simples ou d’expliquer des choses sur lesquelles on n’a jamais trop pris le temps de s’attarder (surtout en BD !) : la transpiration lorsqu’il fait chaud, ce qu’est le sang, les bienfaits du sommeil, le caca, l’intelligence de l’homme comparée à celle de l’ordinateur, etc…

L’intérêt de cette série qui abordera bien d’autres sujets, notamment sur les sciences ou encore l’espace, est que non seulement sa réalisation aura été faite en collaboration avec des spécialistes des thèmes abordés, mais qu’en plus, sa traduction aura fait l’objet d’une attention toute particulière, de manière à ce que les termes techniques utilisés soient justes, par exemple.

Malgré un dessin qui pêche par trop de simplicité, "Manga Science", avec son format compact très pratique, est idéal pour les plus jeunes qui auront entre les mains une lecture intelligente. Et puis, eh, pendant ce temps-là… ils ne seront pas devant leur télé !

Par Sylvestre, le 1 novembre 2005

Publicité