MALEDICTION DES SEPT BOULES VERTES (LA)
La poursuite

 
Un ingrédient manque à Odi pour qu’il puisse élaborer un élixir d’immortalité. Cet ingrédient, c’est du sable blanc de l’île d’Ovaya, une île située… à l’autre bout du monde ! Mais pas besoin d’aller jusque là, heureusement : une boutique nommée Lazuli propose en effet à ses clients ce fameux sable blanc, dans la ville appelée Ondoria. C’est vers cette destination que Guilio et Odi vont donc partir, mais ils vont s’y retrouver qu’une révolution est en train d’y avoir lieu ! Odi se fera arrêter, son ami Guilio devra alors tout mettre œuvre pour aller l’extraire des prisons du palais d’Ondoria…
 

Par sylvestre, le 30 mai 2015

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Notre avis sur MALEDICTION DES SEPT BOULES VERTES (LA) #3 – La poursuite

 
Deux des sept boules vertes apparaissent dans cet album mais elles n’y ont pas une importance primordiale dans l’aventure proprement dite ; aventure qui se résume à une quête que Guilio et Odi vont suivre. Leur quête va bien évidemment permettre à ces derniers de faire des rencontres plus ou moins bonnes et va les fourrer dans des situations qui vont mettre à l’épreuve leurs conditions de héros.

Le scénario est simplissime et linéaire mais il reste ainsi, comme ceux des tomes précédents, à la portée des lecteurs les plus jeunes. Seules les planches relatives aux deux boules vertes détenues par Arknos et Edelfar viennent perturber cette linéarité (encore que "perturber" est un mot mal choisi car ces planches ne compliquent absolument rien).

Le dessin, de style ligne claire, est bien joli et assure une parfaite lisibilité de chaque vignette, ce qui n’empêche pas que chacune d’entre elles est bien fournie et réserve assez peu d’arrière-plans vides. Les couleurs de Samuel Épié, qui sont nouvelles par rapport à l’édition précédente, sont parfaitement adaptées au style et rendent la lecture très agréable.

On aime cette série depuis son premier tome. Il en reste deux à venir, qu’on imagine facilement aussi chouettes !
 

Par Sylvestre, le 30 mai 2015

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