MALEDICTION DES SEPT BOULES VERTES (LA)
La chasse au dragon

 
Tout comme Guilio qui n’en fait pas vraiment cas alors qu’il y aurait de quoi, le méchant Kréorn est en possession de deux des quatre boules vertes magiques restantes. Or, un beau jour, Arknos, qui pistait Kréorn, comprendra que ce dernier a péri. C’est dans les flammes qu’un dragon a projeté vers lui que Kréorn est mort, et tout sur les lieux laissait à penser que le dragon s’était emparé des boules vertes jusque là possédées par Kréorn. Apprenant cela d’Arknos, Guilio et Odi vont partir à la recherche de ce dragon nommé Worm…
 

Par sylvestre, le 23 juin 2016

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Notre avis sur MALEDICTION DES SEPT BOULES VERTES (LA) #4 – La chasse au dragon

 
C’est une aventure jeunesse fantasy dans toute sa splendeur, avec des méchants pas trop angoissants, des couleurs rendant beaux même les enfers et des transitions parfois assez peu crédibles, mais qui passent comme des lettres à La Poste ! Des exemples ? Le terrible Kréorn qui tire sa révérence en une seconde, la certitude qu’a Arknos que c’est le dragon qui a pris les boules vertes de Kréorn et la tranquillité avec laquelle Guilio et ses amis partent affronter ce dragon réputé invincible et qui tient en respect même les aventuriers les plus courageux…

Après quelques premières planches qui nous resituent dans le contexte, l’aventure se déroule sous nos yeux, tableau par tableau, étape par étape, avec son lot de situations magiques et de créatures imaginaires qui, allez savoir (!?), ont peut-être inspiré Leo, autre talentueux créateur d’univers et de bestioles fantastiques.

Ce tome 4 intitulé La chasse au dragon est l’avant-dernier de la série que rééditent les éditions Paquet petit à petit depuis 2014. Le prochain opus nous réserve donc la conclusion de cette saga bonenfant où le héros, un jeune garçon, part toujours affronter les plus grands dangers avec réussite, avec le sourire aux lèvres et avec son âme d’enfant. Une belle série d’aventure fantastique recolorisée pour un public jeunesse ; et en grand format pour n’en pas perdre une miette !
 

Par Sylvestre, le 23 juin 2016

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