MAKABI
Poupées Russes

Zéna, jeune femme d’origine russe et Dolly sa fille, sont accompagnées par deux agents du FBI pour être ammené à Lloyd simple bureaucrate du FBI en charge de l’affaire. Mais s’agit-il d’un accompagnement ou d’un kidnaping? Ce qui est sur c’est que l’enquête ne sera pas facile pour remonter un traffic de prostitution, surtout que les cartes sont truquées.

Par aub, le 1 janvier 2001

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Toute la BD, que de la BD !

3 avis sur MAKABI #1 – Poupées Russes

Cette nouvelle série est très prometteuse. Le scénario est très largement ouvert à de multiples rebondissement. L’enquête sera certainement palpitante et on attend déjà avec impatience la suite.
J’ai été un peu déçu par les illustrations qui sont parfois très simpliste. Mais cela ne gache en rien la qualité générale de cette BD que je ne peux que conseiller aux amoureux de polars.

Par AUB, le 29 juillet 2002

Bon début pour cette série.
Peut etre que le dessinateur devrait un peu plus travailler son dessin sur certaine page.
Sinon, c’est vrai que c’est agréable à la lecture.
En attendant de voir la suite…
Tiendront-ils leur promesses ?

A suivre donc…

Par BERTHOLD, le 2 septembre 2002

Quelle bonne surprise ! Habituée aux bandes dessinées de Luc Brunschwig, je m’attendais à quelque chose de bien, qui plus est dans la collection Repérages de Dupuis que je trouve très souvent à mon goût . Effectivement, cet album est excellent.
D’abord parce que le thème est peu ordinaire et qu’il est traité de façon un peu brutale, voyante, de façon à faire réagir, à faire prendre conscience, et en même temps, car il amène ce besoin nécessaire que nous avons à être rassurés en cas de danger. Voilà donc le anti héros par excellence mais qui va le devenir comme ça, sans le chercher, sans s’y être préparé, en ne suivant que son instinct qu’il a souvent quand il s’agit d’apporter de l’aide aux plus faibles.
Le départ est rapide, les personnages multiples mais tout est bien en place, il n’y a ni temps mort, ni incompréhension .
Le thème peu ordinaire, c’est la traite des blanches, ce commerce qu’on fait des femmes comme on en fait du bétail, qu’on blesse, qu’on viole, qu’on tue, qu’on humilie, qu’on torture.
Le dessin ne fait pas de cadeaux, bien que sans faire de cadrages gros plan sur la scène de viol collectif, on ne voit pas mais on imagine qu’on voit … ! C’est fort, c’est dur et efficace et peut-être aussi pour contrebalancer le côté obscur, il y a donc ce fameux Makabi, sauveur indispensable en qui on croit assez vite… quoique, le vrai héros : Lloyd Singer me fait un peu le même effet et il est très attachant.
J’ajoute que le dessin, au contraire de Aub, me plaît beaucoup, et que je lui trouve cette qualité de savoir dessiner les enfants qui ont un vrai air d’enfant, du coup, ils en sont tellement adorables, que notre opinion risque d’être assez orientée 😉
Voilà, j’ai beaucoup aimé cet album et je suivrai la série avec plaisir, jetez-y un œil, ça vaut vraiment la peine.

Par MARIE, le 23 octobre 2003

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