MAIWAI
Belle

La veille de son seizième anniversaire, Funako s’est vue remettre par un cabinet d’avocats une lettre qui lui avait été écrite par son grand-père avant qu’il décède. Cette lettre proposait à la jeune fille une énigme qu’elle ne tardera pas à résoudre et qui la mènera le lendemain à un coffre dans lequel son grand-père lui a laissé du matériel et une carte localisant la fameuse île "banque des pirates" !

Malheureusement, Katô état aux côtés de Funako lors de la découverte du coffre : il s’emparera sans scrupules de la carte et partira au large sur un bateau pirate dont il se révélera être le commandant ! Funako, Mitsuura et Kamobayashi, prendront à leur tour la mer pour le courser…

Par sylvestre, le 1 avril 2011

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Notre avis sur MAIWAI #3 – Belle

 
Ça commencerait presque comme un documentaire télé de Cousteau, avec de belles séquences marines et sous-marines traduites en images pour la BD mais en réalité imaginées par Funako lors de sa lecture du livre qu’elle parcourt, écrit par son défunt grand-père. Puis très vite, la jeune héroïne va recevoir la lettre qui va lancer l’action de ce tome 3, folle suite d’une histoire invraisemblable !

C’est toujours de l’aventure avec un grand A qui est au programme, et elle va se transformer maintenant en une course-poursuite doublée de la fameuse chasse au trésor qui anime bien des protagonistes de ce manga. De nouveaux personnages viennent grossir le casting, à l’instar de Mitsuura. D’autres comme Katô ne sont pas nouveaux mais montrent enfin leur vrai visage… Quant à Funako, ce qu’elle montre toujours autant, c’est sa petite culotte ! Un vrai phare : cette petite culotte : où qu’on soit, on la voit !!! En son genre, Funako est la Lara Croft de Maiwai, derrière qui on est sans arrêt !!!

On ne reviendra pas sur le caractère utopique des aventures relatées dans ce manga. Mais on ajoutera quand même qu’à nouveau bien des choses sont bizarres ou peu crédibles, notamment dans certains comportements. Par exemple, on se demande bien pourquoi Funako ouvre le coffre sur la plage, directement, plutôt que d’attendre de l’avoir apporté en lieu sûr pour en découvrir seule son contenu. Car en effet, cette grossière erreur déclenchera la suite : ah ça oui, il y en avait, du monde, autour d’elle en ce fameux jour de ses seize ans pour surveiller l’ouverture de ce cadeau pas banal : Kamobayashi, Mitsuura, Katô et ses nombreux hommes, et enfin les "catcheurs" du Kanjimaru…!!!

Maiwai est toujours aussi jouissif : ça va à trois cents à l’heure, et ce n’est pas un manga qui se prend au sérieux. C’est donc une véritable lecture plaisir, et ça l’est d’autant plus que les tomes de cette série paraissent en alternance avec ceux, en réédition, de l’autre terrible série du même mangaka, Dragon head, également aux éditions Pika.

Viiiite ! La suiiiite !
 

Par Sylvestre, le 1 avril 2011

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