LUXLEY
Le Mauvais Oeil

1191 ! Alors que les grands rois d’Europe sont partis pour les croisades, une grande armée de Mayas et d’Aztèques dirigée par un mystérieux Inca, débarque sur les rivages atlantiques !
L’invasion est sanglante et systèmatique ! Tous les peuples et royaumes sont asservis !
8 ans plus tard. La résistance s’est organisée. Dans les forêts d’Angleterre ou de France, des chevaliers se réunissent pour tenter de contrer l’envahisseur. Robin de Luxley, alias Robin des Bois, fait partie de ceux-ci. Il vient d’arriver d’Angleterre pour une mission ultra secrète. Mais malheureusement, il semblerait que le gouverneur Atlante de Paris, Vucub-Noh, soit déjà au courant du moindre détail, et arrive à prévoir les moindres faits et gestes de Robin…

Par RONAN, le 1 janvier 2001

Notre avis sur LUXLEY #1 – Le Mauvais Oeil

La couverture de cette nouvelle série fait penser à un nouveau Thorgal ! Mais dès les premières pages, on comprend que ça n’a rien à voir.
D’habitude, je ne suis pas fan des histoires ayant pour cadre le moyen âge, mais, au vu du résumé, vous aurez compris qu’en plus de cela, on a affaire ici à une uchronie avec pour déviance l’invasion par les Incas de l’Europe ! Et ca franchement, je suis plutôt grand fan !
L’histoire débute donc 8 ans après cette invasion. C’est dommage. J’aurais bien aimé avoir la description des événements, même en flash back ! Je trouve que ça manque un peu. Du coup on se retrouve un peu dans une histoire d’aventure assez classique, si ce n’est le background fantastique. Mais celle-ci n’en reste pas moins très rythmée, avec des rebondissements nombreux. Mais j’avoue avoir été complétement déboussolé par la fin ! Je n’ai rien compris au dénouement de ce premier tome et j’espère avoir une explication dans le suivant !
Coté dessins, j’adore ! Des dessins nerveux, hachurés, très fins ! Les couleurs sont vives. On regretera juste parfois le manque de texture dans ceraines cases.
Voilà donc une bonne petite série à suivre avec intérêt… surtout par les fans d’uchronie.

Par RONAN, le 27 mai 2005

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