LUCKY LUKE - L'INTEGRALE
1963 - 1964

La tribue des cheyennes, par l’intermédiaire de son chef Chien Jaune, a conclu un traité avec les Etats-Unis : la route des territoires du Wyoming est ouverte pour les colons qui se rendaient plus à l’ouest. Les émigrants ne devaient pas chasser le bison dans les réserves indiennes. Et un fort de l’armée était construit à la lisière de ce territoire pour assurer le maintien de la paix. Ce fort, nommé Fort Cheyenne, regroupait le fameux 20ème de cavalerie mené par le colonel McStraggle.
Mais un jour, le traité est rompu. Des bisons ont été tués dans la réserve et la guerre risque d’éclater. Pour remédier à cela, Washington envoie un homme pour négocier une nouvelle paix. Cet homme, c’est Lucky Luke. Mais le plus dur ne sera-t-il pas les fameux rapports qu’aura le cow boy solitaire et le colonel McStraggle qui fait régner une discipline de fer dans son fort ?

Par berthold, le 7 septembre 2009

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Notre avis sur LUCKY LUKE – L’INTEGRALE #9 – 1963 – 1964

Cette nouvelle intégrale reprends la période 1963-1964 et les titres suivants :
La Ville fantôme ;
– Les Dalton se rachètent ;
– Le 20e de cavalerie.

Là encore, le lecteur sera gâté, même si la Ville fantôme n’est pas un des meilleurs épisodes. Dans cette histoire, Morris et Goscinny aborde donc ces villes qui naissaient vite fait lors d’une ruée vers l’or et qui, souvent étaient abandonnées lorsque l’on se rendait compte qu’il n’y avait pas d’or. Le récit est fort amusant comme toujours.
Avec Les Daltons se rachètent, nous allons voir comment les pires, les plus dangereux et les plus stupides bandits qu’est connu l’Ouest, j’ai nommé les Daltons se comportent lorsqu’ils doivent devenir honnête. Ce récit est vraiment très drôle. Vous y trouverez des passages à vous tordre de rire.
Tout comme avec le 20ème de Cavalerie, où les auteurs montrent d’une façon parodique, quel fut le rôle de la fameuse cavalerie US dans l’Ouest. Ah le fameux colonel McStraggle et son fils, soldat, toujours de corvée, le fameux vendeur de chapeaux, le fameux chinois, blanchisseur de son métier et les cheyennes de Chien Jaune.
Bref, c’est toujours du grand art. Morris est un artiste à redécouvrir et qui mérite bien plus que ça. Et les scénarios de Goscinny sont toujours un régal !

Par BERTHOLD, le 7 septembre 2009

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