LUCKY LUKE
Phil Defer

Bottleneck-Gulch. Le Far West sans foi ni loi. Un seul saloon, l’As de pique, règne sur la ville. Son patron, O’Sullivan, s’enrichit. Mais le jour où un certain O’Hara installe un autre saloon, l’As de coeur, à côté du saloon d’ O’Sullivan, la guerre va être déclarée. O’Sullivan fait appel au plus terrible des tueurs, le dénommé Phil Defer. 
Heureusement pour O’Hara, Lucky Luke va se mettre en travers de sa route…

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur LUCKY LUKE #8 – Phil Defer

Phil Defer dit "Le faucheux".  Cet album de la série Lucky Luke est un des meilleurs, je trouve. Morris montre sa connaissance de l’Ouest, de la narration et de sa maîtrise graphique. Ce que j’aime bien aussi, c’est que Phil Defer, ce grand échalas a les traits de ce très grand acteur que fut Jack Palance (1919/2006). Souvenez-vous de cette fameuse "gueule"  du cinéma : il a commencé à tourner des films en 1950. Les titres les plus célèbres sont Les professionnels de Brooks, Le mépris de Godard, Le mercenaire de Corbucci, Bagdad Café de Percy Adlon (1987), Young guns (1988), Tango et Cash de Konchalovsky, La Vie, l’amour… les vaches de Ron Underwood (1991), Batman de Tim Burton (1989) et qui fut récompensé par un Golden Globe et un Oscar pour son rôle dans La Vie, l’amour… les vaches . Je ne peux citer tous ses films, il y en a vraiment beaucoup. Mais il a quand même marqué le Septième art de sa présence.

Même si Phil Defer fut écrit en 1956, cette aventure de Lucky luke lui rend hommage. Ce récit est riche en gags, en situations loufoques ou incroyables. Du très bon Lucky Luke.
L’album comprend aussi une toute petite histoire nommée  "Pilule" où Lucky Luke n’est que le narrateur.

Par BERTHOLD, le 22 février 2008

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