LUCIFER
Devil in the Gateway

Lucifer Morningstar continue sa petite vie tranquille dans son club à Los Angeles, le Lux où il y  joue du piano, depuis qu’il a laissé sa place en Enfer.
Ce jour là, un émissaire envoyé par le Paradis lui demande de faire un boulot. Lucifer accepte mais sous condition bien sur…

Par berthold, le 1 janvier 2001

Notre avis sur LUCIFER #1 – Devil in the Gateway

Le personnage de Lucifer Morningstar a été crée par Neil Gaiman dans sa série The Sandman où nous assistions à son départ des Enfers et à sa nouvelle vie au Lux à Los Angeles.
Lucifer Morningstar est bien sur l’ange déchu aussi connu sous le nom de Samael. Ce personnage avait un fort potentiel qu’il aurait été dommage de ne pas le revoir dans de nouvelles histoires.
Et puis un jour, un jeune auteur nommé Mike Carey demande à Neil gaiman quel personnage il pourrait bien écrire pour le label Vertigo. Gaiman lui repond : Lucifer. Carey accepte et va se faire une renommé grace à cette série ce qui va lui ouvrir des portes; Aujourd’hui, il écrit pour Marvel une série sur les X-Men.

C’est vrai que quand le lecteur rentre dans cette BD, dans ce roman graphique devrais je plutôt dire, il va y trouver tout le potentiel d’écriture du jeune auteur. Mike Carey s’inscrit dans la lignée de Neil Gaiman
C’est donc avec un réel plaisir que nous suivons ce personnage dans de nouvelles histoires. nous allons bien sur y retrouver Mazikeen. carey va aussi nous décrire des personnages intéressants et nous entrainer dans l’ancien royaume de Lucifer, aujourd’hui dirigé par Remiel et Duma.
Au dessin, nous allons retrouver le talentueux Scott Hampton pour un recit tiré de The Sandman presents : Lucifer#1 à 3. C’est vraiment superbe graphiquement. Puis pour Lucifer#1 à 4, ce sera dans un autre style graphique que nous poursuivrons les récits de Lucifer, mais toujours avec talent.
Ce premier volume se lit avec un gran d plaisir. Mais, n’oubliez pas que cette série peut choquer certains lecteurs.

Laissez vous donc tenter par Lucifer sans lui vendre votre ame, bien sur. Cette série mérite le voyage.

Par BERTHOLD, le 19 mai 2009

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