LUCHA LIBRE
Se llama Tequila !

Pour une sombre histoire de cuisson de poulet Tequila se dispute violemment avec Walter. Celui-ci sera retrouvé mort le lendemain matin et Tequila est le principal suspect…

Les Luchadores vont enfin mettre la main sur ce lézard géant…

Le professeur Furia poursuit ses cours un peu particuliers et Melindez s’entraîne plus que jamais

Par Arneau, le 1 janvier 2001

Notre avis sur LUCHA LIBRE #2 – Se llama Tequila !

Ce deuxième tome marque l’entrée en scène d’un nouveau catcheur : Tequila. Evasivement évoqué dans le tome précédent, il débarque ici avec sa propre série et il est accompagné d’une nouvelle galerie de personnages assez prometteuse. L’histoire démarre sur les chapeaux de roue et le dessin, assuré par Gobi, est à l’instar de celui de Bill très dynamique et caricatural. On attendra la suite pour voir où tout cela nous mène.
On retrouve également les gags en une page aux styles très différents : ceux du Profesor Furia plutôt cruels et cyniques et ceux des Luchadoritos plus "mignons".
La série des Luchadores Five n’est pas non plus en reste, puisque l’on suit dans cet album la fin de l’histoire commencée dans le premier. Un lézard géant pris en otage, des bandits qui mange des biscottes, une bagarre contre des loups-garous….bref des rebondissements, de la castagne, du délire pur, et donc beaucoup de fun pour la fin de ce premier cycle. Vivement le prochain !
A noter dans la série Tequila, un flash-back croustillant montrant les Luchadores Five, enfants. Sur ce concept, on se doute que les auteurs vont certainement beaucoup s’amuser à faire intervenir les différents personnages d’une série à l’autre. Et même si on ne peut pas parler de cross-over puisque c’est le même scénariste et que tout cela se fait au sein de Lucha Libre, l’idée est plutôt bonne et excitante pour le lecteur.
On nous promet également pour le prochain tome, l’arrivée d’une nouvelle série avec les Tikitis et l’on pourra ainsi apprécier Lucha Libre dans son intégralité avec ses 3 séries principales démarrées.

Par Arneau, le 19 février 2007

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