LOVE JUNKIES
Tome 5

Eitaro et Obi (qui squatte toujours chez lui !) croisent un jour Maiko Shiina qui est au bras d’une nouvelle conquête masculine. Une nouvelle histoire sans lendemain parmi tant d’autres… Peu de temps après, les deux garçons ont l’occasion de se retrouver à trois avec Maiko, mais leur discussion se termine en dispute au sujet des différences qu’il faut savoir faire entre l’amour et le sexe, la jeune fille menant une vie à laquelle ils trouvent à redire.

Ensuite, Eitaro et Emu se sont prévu un moment en amoureux. Mais leur rencontre va tourner, qui l’aurait cru !?, à la course au love hotel !!!

Miho Ide va se faire embarquer dans une soirée où elle va faire de l’ombre à fille nommée Sarina qui va se montrer terriblement jalouse. Celle-ci va alors vouloir défier Miho au karaoké en jouant un sale tour à sa concurrente…

Enfin dans ce tome, vous serez témoin des déboires d’Eitaro avec une femme à qui appartenait une petite culotte qu’il a trouvée dans le tambour d’une machine à laver qu’il s’apprêtait à utiliser dans un pressing !
 

Par sylvestre, le 1 novembre 2009

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Notre avis sur LOVE JUNKIES #5 – Tome 5

Les petites histoires de ce tome viennent s’ajouter à toutes les précédentes de cette série coquine, rappelant à l’affiche des personnages déjà rencontrés et en mettant d’autres un peu en coulisses en attendant leurs probables retours.

Derrière les rebondissements du récit, je parle là autant de ceux des formes généreuses des filles que de ceux du scénario, on sent les efforts de la mangaka pour que Love Junkies puisse être auréolée de qualificatifs autres que ceux qu’on attribue d’habitude aux œuvres sexy, car bien qu’effectivement, elle le soit, sexy d’abord, elle est aussi et d’une certaine manière la chronique d’une jeunesse libérée mais apte à se poser des questions sur la qualité de ce que doit ou peut être l’amour.

Une lecture à ne pas mettre entre toutes les mains, ça c’est sûr. Une lecture cependant agréable, récréative et comme les jupes des filles : relevée !

Par Sylvestre, le 2 novembre 2009

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