LORD
Tome 8

La coalition contre Dong Zhuo réussira à capturer Lü Bü grâce à un stratagème imaginé par Liu Bei, Zhang Fei et Zhaoyun. Mais celui-ci bénéficiera de la complicité de Chen Gong pour glisser entre les doigts de ses ravisseurs. Il pourra alors repartir vers son père adoptif, Dong Zhuo, occupé lui à essayer de soumettre Diao Chan d’une manière peu douce : en lui imposant le spectacle de cent décapitations par jour et en lui en attribuant la responsabilité ! La belle ne savait pas que dans le même temps, Guan Yu était parti pour la retrouver. Elle ne le saura que lorsque celui-ci sera repéré par la garde de Dong Zhuo…
 

Par sylvestre, le 8 février 2010

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Notre avis sur LORD #8 – Tome 8

C’est la deuxième fois qu’une femme apparaît sur la couverture d’un volume de cette série Lord. La première fois, c’était un visage anxieux auquel on avait droit. Cette fois, c’est celui, souriant, de Diao Chan. Mais halte aux impressions fausses ! Vous verrez que ce timide sourire masque une situation bien délicate pour la belle, prise dans les griffes d’un Dong Zhuo dont on apprendra plus en détail ce qui, dans sa jeunesse, l’a poussé à devenir ce qu’il est maintenant…

Comme d’habitude, tous les personnages et les situations vécues sont captivants et spectaculaires. Celui qui, néanmoins, décroche la palme pour avoir attisé notre intérêt et notre curiosité est bien Chen Gong. Petit en taille, toujours le sourire aux lèvres… Il nous avait paru être un sage (et ne manquera pas de nous le confirmer si c’est le cas), mais… est-il finalement ami ou ennemi ? Traître ou discret complice ? Après avoir approché Liu Bei dans un précédent tome, il vient cette fois-ci carrément au secours de Lü-Bü en lui permettant de retourner vers son clan au grand dam de Liu Bei et de ses coalisés…

Les noms des personnages, sonnant parfois un peu trop "pareil" à nos yeux de lecteurs européens déroutent toujours un peu, parfois, surtout lorsqu’on ne reprend pas la lecture du tome précédent avant d’en entamer un nouveau. Néanmoins, l’action et l’intérêt reprennent vite le dessus et à chaque volume, on se retrouve invariablement happé par cette fresque médiévale du bout du monde menée de mains de maîtres par le tandem Buronson / Ikegami.
 

Par Sylvestre, le 8 février 2010

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