LONDON CALLING
Episode 1/9

Thibaut et Alex idéalisent une autre vie . Alors, loin de leurs racines, de l’autre côté de l’océan, insoucients ils décident de partir à Londres pour y vivre et y travailler. Un peu de comédie pour échapper au service et hop le tour est joué. Direction la liberté, les pubs, la musique, la gloire quoi ! Le départ est donné, le cœur serré surtout pour Alex et les voilà partis.
Malheureusement l’arrivée n’est pas exactement celle qu’ils espéraient !

Par MARIE, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

2 avis sur LONDON CALLING #1 – Episode 1/9

J’ai découvert Sylvain Runberg avec le premier tome d’Orbital et le quatrième de Mic Mac Adam. C’est un de ces jeunes auteurs qu’il va falloir surveiller.
Ce London calling est encore une bonne surprise.
L’histoire de ces deux jeunes qui veulent aller à Londres, tout le monde l’a un peu connu. si ce n’est pas arrivé à vous, c’est à un de vous amis que c’est surement arrivé.
Le début du récit qui se passe lors des fameux <<3 jours>> du service militaire m’a ramené des années en arrière.
L’histoire est très sympa et se lit aussi bien qu’un récit d’aventures. Le dessin de Phicil passe très bien; c’est un trait agréable, léger et précis.
Un bonheur à découvrir grace à la très belle collection <<32>>.

Par BERTHOLD, le 9 septembre 2006

Qui n’a pas imaginé refaire le monde, devenir une autre personne dans un autre lieu, rechercher l’exotisme, parler une autre langue ? Qui n’a pas voulu aller ramasser les oranges dans les Kibboutz en Israël comme tous les jeunes en passe d’affirmer leur indépendance ? Les années 70 – 80 sont un nid pour ces belles utopies et la conquête d’une autre vie devient légion. La musique bat son plein et les plus ingénieux partent en cars peints à la main, cherchant ainsi à se faire reconnaître. 

Avec London Calling les auteurs tapent dans le registre de cette époque bénie où nous rêvions « peace and love » en toute logique, où nous rêvions tout le temps. Mais la réalité est comme un réveil après une nuit trop courte, dure à encaisser, dure à croire et les désillusions ne font que commencer. Le récit de Sylvain Runberg déjà connu pour ses « Colocataires », thème très tendance depuis « L’auberge espagnole », recrée un univers sur la jeune génération et ses idéaux.
Les auteurs démarrent assez vite un cycle de 9 épisodes qui touchera les amoureux des histoires intimistes où chacun vit une expérience plus ou moins bien réussie. 

Dessin proche de la ligne claire très agréable, cette série part sous de bons auspices, souhaitons-lui longue vie.

Par MARIE, le 30 août 2006

Publicité