LINCOLN
Playground

« Il y a le ciel, le soleil et la mer…. » comme dit la chanson ! Oui enfin presque !
Lincoln et Dieu auraient pu savourer un paisible repos mais c’était sans compter la présence du Diable !
Toujours partout, il est aussi sur cette île et il recrute. Evidemment, Lincoln qui s’ennuie un peu va aller fricoter avec lui.
Ce qui devait arrivait n’arrivera pas .. et le méchant qui ne l’est pas tant , risque bien de perturber les plans de son compagnon d’infortune.
C’est parti pour un voyage tous frais payés, en un éclair, direction New York et la Trust Bank.

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur LINCOLN #3 – Playground

C’est avec plaisir que nous retrouvons la famille, que dis-je, le clan Jouvray et leurs satanés héros pour ne pas dire bibliques.
L’idée était originale, elle devient lumineuse.
Non seulement les personnages font corps parfaits dans leurs rôles de composition mais en plus, ils font du sur mesure, ajustés au plus près, dans leur look comme dans leurs propos. A ce point de réjouissance il est difficile de résister, notamment au bouc mal taillé de Dieu…(éventuellement, je recommande un coiffeur mode des années disco pour essai en vue d’une utilisation ultérieure avec un style BCBG .. ), difficile de résister aux bottes rouges de l’anti-héros, j’ai nommé Lincoln pour nous faire rire, euh.. pour nous servir, difficile de résister à l’effet top mode que répand sur son passage le diable en personne affichant ses lunettes de soleil, boucles d’oreille et bandana sur la tête.
L’histoire est drôle, rythmée, et prenante et les dialogues assez percutants. D’ailleurs, j’ai relevé un mot de passe pour mon inscription au club : « Roosevelt est une gonzesse ! »… Bien bien.. noté .. ! (Remarquez bien que Roosevelt m’est assez indifférent au fond… !). Et puis, un arrêt sur une petite douceur que le scénariste s’est accordée : il fait passer une bonne fée qui l’appelle Mon petit Ange et Mon Chéri .. . Enfin, c’est son héros qu’elle appelle comme ça .. bien sûr !
Parmi les éclats de rire, puis les étonnements, et les rictus de désapprobation, on arrive finalement à la happy end et on se dit que cette série est vraiment une riche idée pour la détente, la bonne humeur et le sourire.
La planète est morose mais on peut lui donner quelques notes de plaisir pour la dérider. Je crois que les Jouvray seraient de bons compositeurs pour cette orchestration avec en plus la palette de couleur d’Anne Claire, pour ajouter au plaisir de l’œil.
Pas d’hésitation à avoir, cette bd est un régal !

Par MARIE, le 3 novembre 2004

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