QUATRE DE BAKER STREET (LES)
Le Dresseur de Canaris

Londres, en 1895. Charlie va bientôt faire ses débuts sur scène, au Merry Minstrel, grâce à son amie Polly Perkins. Mais cette dernière est victime d’une agression, qui, sans l’intervention de la jeune fille, aurait pu être mortelle. Malheureusement, Polly tombe dans le coma.
Le drame s’est passé après que Polly se soit accrochée avec Edgar Wilson, dit "le dresseur de canaris" et propriétaire du Canary Palace. Charlie sent que Wilson est derrière l’agression. Elle infiltre son cabaret en tant que chanteuse. Billy et Black Tom, sans oublier Watson le chat, viennent lui prêter main forte. La jeune fille risque de se mettre en danger…

Par berthold, le 23 avril 2021

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Notre avis sur QUATRE DE BAKER STREET (LES) #9 – Le Dresseur de Canaris

Du mystère, du danger, des sensations fortes et beaucoup d’émotion nous attendent dans ce neuvième tome.

Jean-Blaise Djian et Olivier Legrand nous offrent un excellent moment de lecture. Ce nouvel opus est une vraie réussite. Les auteurs nous font sentir le danger, ils nous emportent dans cette irresistible affaire. Nous tremblons pour Charlie, au côté de Billy, Black Tom et même de Watson, qui ajoute son coup de patte. Du suspense jusqu’au bout. Ce n’est qu’à la dernière page que l’on peut enfin souffler.
Durant cette affaire où nos francs-tireurs de Baker Street se mettent en danger pour aider une de leurs amies, ils ne peuvent compter sur l’aide de Sherlock Holmes et du Docteur Watson, qui sont pris dans une affaire au Vatican et qui en profitent pour visiter Rome. Heureusement, Madame Hudson et l’inspecteur Lestrade ne sont pas loin pour leur donner un coup de main. Les scénaristes dosent parfaitement les bons ingredients dans cette enquête avec ce qu’il faut d’émotions fortes.

Quand à David Etien, il est toujours au sommet dans son art. Son dessin reste toujours aussi parfait et superbe, il redonne vie au Londres de cette fin de XIXème siècle avec une telle facilité. Il nous entraîne dans les rues de la ville, dans les appartements ou les cabarets de la capitale. Il installe les ambiances quand il le faut, les cadrages sont utilisés à bon escient et au bon moment, donnant du rythme et du mouvement aux pages.

Ce neuvième tome est un très bon cru, une excellente lecture qui nous fait passer un bon moment.
Une aventure étonnante et prenante que je ne peux que vous recommander.

 

Par BERTHOLD, le 23 avril 2021

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